DANS LES PHÉNOMÈNES DE POLARISATION ROTATOIRE.
[b') — r pot [ Ç' ( (xÇ" — vq") +7i'(v?"— ^Ç") + Ç'(M"—
2 J T
intégrale nulle par hypothèse, puisque l’on admet l’existence du repos à la limite
de l’espace ci. Il reste donc, pour l’expression (b),
C [ ,d? .., df \
7 pa (- T ‘ dz + --- +l - 1
c’est-à-dire, identiquement, la seconde moitié cherchée de (a).
Ainsi, abstraction faite du terme (b'), relatif à la surface limite a, que nous
supposons nul, mais dont il faudrait plus généralement tenir compte, les résis
tances productrices de la polarisation rotatoire et de la double réfraction ellip
tique entraînent l’adjonction, à l’énergie potentielle en jeu dans le problème, du
terme (a'), dont le décroissement d’un instant à l’autre constitue justement le
travail de ces résistances. Comme il y figure les vitesses V, ou leurs dérivées
en x, y, z, cette énergie potentielle se rapproche, par son expression, des demi-
forces vives : il conviendra donc de la comprendre dans ce que nous appelons
(p. 284) l a demi-force vive fictive et aussi, par suite, dans l’énergie actuelle
totale.
Rapportée à l’unité de volume, elle égale le produit de pa par Vexpression
(c)
V ( df
dz
dX¿
dy
f (dX¿
dx
df
d.
K(
dy dx
qui, au signe près, s’obtient elle-même, évidemment, en multipliant lavitesie
instantanée de rotation moyenne de la particule d’éther par la projection,
sur l’axe de rotation correspondant, de la vitesse (£', t\', Ç') de translation de
la particule.
II. Équation du viriel. — Les mêmes résistances (218) figureront au premier
membre de l’équation du viriel (p. 285), par l’intégrale
Transformons cette expression en opérant comme ci-dessus après la formule (b),
c’est-à-dire en remplaçant
, drj d\"
? dF——’‘dï
d(W-rt") + _ „ + + w *1 _ .
Tz ^ dz^-"^^ dz
Il viendra
\BW*~ g)--]*