DANS LES MILIEUX DOUÉS DE POUVOIR ROTATOIRE.
de surfaces, dont l’équation, d’ailleurs susceptible de contenir le temps t, est
alors, justement, l’intégrale même f— const. de (e') (').
Au reste, cetLe annulation de l’expression (c) n’est qu’une des manières, la plu s
simple, dont pourraient se conserver à part, dans une onde, l’intégrale (a') et,
par suite, la demi-force vive.
Complément a l’étude de la polarisation circulaire.
I. Application, à un milieu transparent isotrope-dissymétrique, de la
théorie générale des ondes planes à vibrations pendulaires. — Appliquons à
un corps isotrope-dissymétrique, produisant, par conséquent, la polarisation cir
culaire des vibrations dans les ondes planes à propagation uniforme, les formules
des pages 474 à 4/6- Les équations du mouvement, si l’on y adopte, pour unité
de longueur, la vitesse de la lumière dans le corps symétrique correspondant, et
que 2g désigne alors le coefficient de dissymétrie, seront, d’après les formules (220)
(p. 458),
? + 2 g
d{x,y,z)
et elles reviendront à poser, après suppression d’un facteur A 2 ,
! <p = l 2 -\- m 2 + zi 2 —1, y = 2 gkn \J— 1, 4 1 = — 2gkm\J— 1,
(p, = —2 gkn\J—1, x, = l 2 -t- m 2 -{- n-—1, ^1=^ gklsf—i,
cp 2 = 2gkm \J — 1, y 2 = — igkl sf—î-, = P-+- m 2 + îd —- 1 .
Les ti’ois fonctions cp u cp 2 , y 2 se trouvant conjuguées à y, <jq tjq, il est clair que
les déterminants partiels X', p.', v' seront aussi conjugués à X, p., v. Nous savons,
d’ailleurs ( p. 4^8 ), qu’on aura 9 = 0, ou lL -t- m M + 71N = 0 et, par suite,
lX’ —1— m\i'nv'
vX' — Xv'
Déplus, les trois fonctions égales cp, y„ ^2 différeront de zéro, sans quoi L, M, N,
dès lors proportionnels à Z, m, ne n vertu de (y) ( p. 474) et de (a'), ne pourraient
annuler le trinôme IL + mM + nN, Il suffit alors d’ajouter ces trois équations (y),
multipliées respectivement par L, M, N, pour avoir L 2 -)- M 2 -+-N 2 =: 0, ou
( b' ) X 2 + p 2
Par suite, les trois fractions
{b")