Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

Ô96 CONSERVATION DES FORCES VIVES LE LONG DES RAYONS, 
d’amplitude I et, par suite, la vitesse vibratoire, inverses de la distance r au 
centre, de manière à assurer la conservation de la force vive de chaque onde à 
l’intérieur de tout cône infiniment aigu de rayons. Il y a donc lieu de chercher 
si le second terme ne serait pas nul, ou, ce qui revient au même (vu que ce 
second terme est la somme de deux quantités imaginaires conjuguées), si l’une 
des deux expressions variables figurant en numérateur, par exemple, 
(«') 
dv'\ /dv' dV\ , ( d\' dp'\ 
dy J " + ~ ' X \ dx dz ) + V \ dy dx ) ’ 
n’aurait pas sa partie réelle identiquement nulle. 
Pour le reconnaître, et faute d’avoir découvert une méthode plus élégante, 
formons les expressions, peu symétriques, de p, v, V, p', v'. En considérant, 
par exemple, les deux premières équations (y) (p. 474); fi 11 * donnent pour 
p, v les déterminants partiels 
XŸi— fc +?i— ?Xi —X?n 
nous aurons, vu les valeurs (a') (p. 5gi) de cp, y, tjq cp,, y t , abstraction faite par 
tout du facteur —4 g 2 k 2 et si l’on observe que ¿ 2 + m 2 + a- — 1 est, en vertu 
2 gk 
de (c), la quantité constante rtr ° -, 
(e") 
j. v/— 1 
p — mn ± 
O) 
l, 
d’où 
y = In ± 
Oj 
v = n z 
Il vient d’abord 
(/) 
f à. mn 
[ur 
y/— i àl ô.n-\ 
w ôz dy J 
Or, observons que l, m, n sont, au facteur constant près *Jl 2 y- m 1 -f- n 2 , les trois 
cosinus directeurs —>—>-> c’est-à-dire les trois dérivées partielles —— , 
r r r ô{x,y,z) 
et même qu’elles seraient plus généralement, ou pour tout système d’ondes 
émanées de l’origine, même dans un milieu hétérotrope, les dérivées partielles 
en x, y, z du temps £ 0 employé par les ondes à se propager le long du rayon r. 
Ainsi, l, m, n vérifient toujours, comme on a eu, du reste, déjà plusieurs fois 
occasion de le remarquer, les conditions d’intégrabilité 
dm dn dn __ dl dl _ dm 
dz — dy’ dx dz ’ dy dx 
Grâce à la première de celles-ci, l’expression (/) devient simplement 
lu 
_ V 
dn 
dz 
dn _ \J— i dl \ ' 
dy h oj dz 
et sa partie réelle est 
(g) 
In 
dn\ m dl 
H dy ) or dz
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.