598 ONDES DIVERGENTES DANS UN MILIEU DISSYMÉTRIQUE :
ou bien, vu les valeurs (e") dç ¡1, v,
dz
11 (l dx -+- m dy + n dz) — ± ( l dy — m dx) = 0,
c’est-à-dire, en raison de ce que f, /n, n sont les dérivées premières du temps t„
de propagation,
x y
Or, £ 0 , l, m, n sont les quotients respectifs de r,
— par 01 ; et l’équa-
— J — J
r r
tion (/t'), dont il s’agit de reconnaître l’intégrabilité analytique, devient, si on
la multiplie par w 2 r,
(z dr — /• dz) ± iù sJ— 1 (x dy —y dx) = 0.
Alors, divisée, dans sa partie réelle, par r 2 —z 2 et, dans sa partie imaginaire,
par l’expression équivalente x 2 -\-y 2 , elle admet immédiatement, comme intégrale
générale,
, / y
rtoy— 1 arc tang — = const.,
- = const.
Il est vrai que l’expression (a 1 ) (p. 588) n’est ainsi démontrée nulle que pour
la solution symbolique, et non pour les vitesses !•', Y, effectives, parties
réelles des !•', t\’, Ç' symboliques. Mais cela suffit pour la conservation de la force
vive (également symbolique ), dans cette solution, ou, ainsi qu’on l’a vu, pour
rendre le coefficient I d’amplitude et, par suite, les parties réelles de i\, Ç, qui
expriment les déplacements effectifs, inverses de la distance r au centre d’ébran
lement, le long de chaque rayon en émanant. D’où il suit, comme on sait, que
la force vive des ondes réelles se conserve le long de ces rayons.
Seulement, il n’y a plus de famille de surfaces à laquelle les vitesses effectives
r)', Ç' soient normales. Car, si, attribuant à ¡x, v les expressions (e"), l’on
suppose, pour simplifier, le coefficient d’amplitude I tout entier imaginaire dans
la solution symbolique [ce qui revient à faire abstraction d’une partie constante
dans l’argument k (t — t 0 ) \J—1 de l’exponentielle, ou à choisir une origine des
temps convenable], les dérivées V, seront, à un facteur près, constant et réel,
les produits de ~k, p., v par e*(<—C) /-ï; de sorte qu’on pourra prendre, sauf le
même facteur, comme expression symboliqne de %' dx + 7/dy + Ç' dz, le premier
membre de (h), multiplié par e*(<—i 0 )v— 1 . Alors à un facteur près réel et fini,
cette expression sera, vu (h') et (h"), le produit
[cosk( t — t 0 ) -+- — 1 sink( t — £ 0 )] ±oi y'—1 d arc tang — J ;