Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

612 LOIS GÉNÉRALES DE L’ABSORPTION DE LA LUMIÈRE, 
la forme de leurs analogues anciens, mais avec un facteur A’y/— i de moins 
(puisque toute dérivation en t introduit ce facteur), ou, ce qui revient au même, 
avec les coefficients 
k v/^T k 
exemple,-^» — > ••• désignent les coefficients des anciens termes, l’introduction 
ar b' 1 
des nouveaux reviendra donc à remplacer > •• • par 
i 2 («', à', ...) j— 
i i (a', b', 
Dès lors, soient A, B, ... les coefficients modifiés, savoir, les coefficients pri 
mitifs a, 6, ... du milieu transparent ainsi accrus de petites parties imaginaires 
«3 
et admettons que, L, M, N s’appelant /, m, n dans ce milieu transparent, l’équa 
tion, réelle par hypothèse, qui y reliait Z, m, n à a, b, ..., fût 
F(a, 6, ...,/, m, n) = o. 
(22) 
La forme analytique des équations de mouvement s’est conservée. Donc, les 
mêmes calculs algébriques qui avaient conduit à cette relation (22) et qui conti 
nueront à s’appliquer aux exponentielles, maintenant un peu moins simples, de 
la question, subsisteront. Et ils donneront actuellement 
F ( A, B, ..., L, M, N ) = o. 
où L, M, N auront désormais, à côté de parties réelles, que l’on peut continuer 
à appeler /, m, 11 (sans affirmer encore leur identité à celles de mêmes noms pour 
le milieu transparent primitif), de très petites parties purement imaginaires SL, 
SM, SN, imposées, par la présence de SA, SB, ..., aux coefficients de 3?, y, z dans 
l’exponentielle eW—L-* - — My-Ns) 1 des expressions r\, Ç symboliques. Nous 
savons d’ailleurs que S(L, M, N) auront les formules — ^ ^ 1 cos(«', ¡3', y'), 
si f désigne le coefficient d’absorption et si a', y' sont les trois angles faits 
avec les axes par la normale aux plans d’égale amplitude ou à la face d’entrée 
des ondes dans le corps (*). 
Les très petites variations 8(A, B, ..., L, M, N) étant ainsi des quantités 
purement imaginaires dans l’équation de forme reelle 
F (a SA, b + SB, ...,/+ SL, m + SM, n + SN) = 0, 
C) Nous appellerons donc ici cos (a', ¡3', y’), et non plus "k, p, v, les trois co 
sinus de la normale à la face d’entrée de la lumière dans le corps, c’est-à-dire aux 
plans d’égale amplitude, parce que nous aurons besoin des lettres A, ¡1, v pour 
désigner certains déterminants partiels, généralement imaginaires.
	        
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