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sera, par suite, sous une première forme, l’intégrale du problème,
si elle s’annule pour x, y ou z infinis. Or on reconnaît qu’il en
est bien ainsi, en y opérant, de la même manière qu’après la for
mule (7) (p. 7), les intégrations en a, (3, y. Ces intégrations
respectives porteront, en effet, entre les limites zéro et l’infini,
sur les expressions
e —(«via 2 cos p# — £ )a] abc,
e - cos [(y — y] )[3] d^,
6-W CO s[(.-Ç)t14
et donneront comme résultats
(x — Ei 2
/- ( y—Yj) 2 /—
—iïîr.
ia\J t ia \Jt ici \J~t
Il viendra ainsi, au lieu de (8) (p. 7) et de la même manière,
(X— E)!+(y — Y]) 2 -)- [z Ç) 2
(2 a \Jr>t)
wwLLf_
X F(æ7
F(S,T}>Oe
g—(M 2 +ü)' 2 -t-w” 2 )
ia<x> \/1, y icuo' \/1, z
iaio" \/t) doi du>' t/cu".
Or, la fonction F(x,y,z) étant, par hypothèse, évanouissante,
quand l’une quelconque de ses trois variables devient infinie, les
seuls éléments de la dernière intégrale triple où le facteur F soit
sensible, aux poinLs (x,y, z) très éloignés de l’origine, sont ceux
qui correspondent à de très grandes valeurs absolues de tu, to' ou
to" et, par suite, de l’exposant — (w 2 -f- to /2 -f- to' /2 ), valeurs rendant
insensible l’autre facteur sous les signes Ç> c’est-à-dire l’expo
nentielle.
L’expression (8 ; ) de cp, généralisée de (7) (p. 6), convient dès