DANS UN MUR RAYONNANT, D’ÉPAISSEUR INDÉFINIE. 0 1
ajoutons-les. Il viendra
d(X YZ) /W7'\
———- — « 2 Aî(aïZ) = o.
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enant
j K et
C’est dire que chaque élément du second membre de (e ff ')
vérifie l’équation indéfinie du problème. De plus, cet élément
s’annule pour x,y ou ^ infinis dans le mur, à raison du facteur
correspondant X, Y ou Z alors nul lui-même; et, d’autre part,
l’expression ^ — hu, déduite encore du second membre, a la
même forme que lui, sauf la substitution à X, sous les signes jJ,
du facteur analogue ~ — /¿X, qui s’annule à la surface x = o.
^dzdl,
Ainsi, les équations, tant indéfinie que relatives aux limites
de x, y, 5, sont satisfaites. Enfin, pour £ = o, le troisième membre
de (e w ) devient immédiatement X(o, ¿r, y, z), c’est-à-dire
trions
f(x,y, z)\ et la condition d’état initial se trouve également vé
rifiée.
o dtù'.
175. Solution simple naturelle du problème. — La tempéra
ture effective u se compose, d’après le second membre de (e w ),
des valeurs partielles qu’elle aurait, si l’on n’attribuait à la tem
pérature initiale f(x,y, z) ses valeurs données, qu’à l’intérieur
d’un filet prismatique élémentaire normal aux x. de coordon
nées 7), Ç suivant les y et les z, et de section normale dr {
cette température initiale étant supposée nulle partout hors du
filet considéré, pour lequel on prendra, successivement, tous
les filets analogues du mur. En effet, l’expression (y") du facteur
X(i, x, 7), Ç), dans ces valeurs partielles, s’annule alors identi
quement dès que r\, Ç sont les coordonnées, suivant les y et les z,
de points extérieurs au filet correspondant.
est Je
Appelons /• la distance \/(y — 7))-+ (z — Ç) 2 du point intérieur
t de t
quelconque (x, y, z) à ce filet élémentaire, et f(£) la quantité
C/(£, 7), Ç)dr { c/Ç de chaleur que contenait initialement l’unité
de longueur des divers tronçons de celui-ci, distingués en position
les uns des autres par leur abscisse £ ; ou posons, par conséquent,
- ( p.-
puis