d’une sphère athermane, HOMOGÈNE ET ISOTROPE. 49
ties <7, y' de la surface limitant l’espace ra et aussi, par suite, les
normales respectives dn, dn' à ces parties,
c’est-à-dire, vu que u' = et, aussi, que les normales dn' sont les
prolongements, changés de signe, des rayons r = e aboutissant
à la petite surface <r 7 ,
Or dérivée de u le long du prolongement dr d’un rayon
infiniment petit £ de la sphère a 7 , se confond sensiblement avec la
dérivée finie de u au centre (X, Y, Z) le long du même rayon; et,
comme Jdy' = l’intégrale dy' est très sensiblement
le produit du facteur infiniment petit 4 7I£ par la moyenne des
valeurs de c ~ en (X, Y, Z), suivant toutes les droites qui en
émanent, moyenne nulle à cause des valeurs égales et contraires
de cette dérivée dans les sens opposés. D’autre part, la dérivée
de - en r est c’est-à-dire — — à la surface a- 7 ; et la va-
r r- s 2
leur moyenne de u sur celle-ci peut évidemment être confondue
avec la valeur, w(X, Y, Z), de a au centre. Ainsi l’intégrale
d-
i
u —d^' peut s’écrire simplement 4^m(X, Y, Z); et la for
mule (56), divisée par 4tc, équivaut à
(57)
iî(X, Y, Z)
i du
r dn
¿A
u I da,
dn J
ne sont autre chose
que
d(u, u' ) '
dn ’
et la formule de Green se trouve bien dé
montrée.
Nous aurons à l’employer encore dans la Note finale I, où elle porte le n° 31 t
les fonctions analogues à u et u' s’y appellent p et p'.
B. — II.
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