37« QUESTIONS HÉRONIENNES. 1 y3
l’équation de Pell et celles que nous avons appelées premier quo
tient complet développé, on est conduit à admettre pour première
approximation (valeur de a la plus simple) dans les racines à pre
mier quotient approché
^/444 ^ ^ 21 -, /3400 00 60, y/ , 8-~OQ3|,
et, dans les racines à second quotient complet développé,
Les autres sont réfractaires; or la dernière est donnée par notre
procédé ; des quatre premières, la troisième peut être seule consi
dérée comme possible; elle reviendrait à considérer /3400 comme
10/34, à prendre pour /34 l’approximation 6 —immédia
tement donnée.
Abordons maintenant le procédé de M. Heilermann pour le
second degré d’approximation.
Il conduit à l’équation en <2,
a 3 — 3Xa 2 + 3Aa — AX = o,
qui a deux racines imaginaires et une réelle.
Si cette équation a une racine rationnelle m et que d’ailleurs
m 2 — A soit un carré (cas qui se présente pour les solutions de
l’équation de Pell), il se trouve que l’on obtient également une
solution, en supposant que X soit une approximation du premier
degré seulement ; mais, en la regardant comme du deuxième