37- QUESTIONS HÉRONIENNES. 176
dont le degré d’approximation n’est pas tel qu’il permette d’ob
tenir des conclusions précises.
Le procédé en question, présenté comme une généralisation de
celui qui donnait chez les anciens les nombres côtés et diago
naux (solutions de l’équation m 2 — 2y 2 — ± i), consiste à former
deux séries récurrentes de nombres S et D, d’après la loi
Sn — S«—i -f- Dn—i, D n — /cS n —i -j- D n —1.
On obtient facilement la relation
D 2 * — kS 2 n = (1 — k) (Dn_i — /rS 2 —i) — (1 — k) n (D 2 — k&).
Il en résulte que si k est suffisamment voisin de i, ^ représen-
tera Y~k avec une approximation d’autant plus grande que n sera
plus élevé.
Soit maintenant à extraire /a=z/a 2 -|-r — a ^/i + ^ ; si l’on
pose
r
i 4- —- k, S 0 i -, Do " i.
a 2
on a
S| un 2, Dj — i -j- k,
et, comme approximation correspondante du premier degré,
r— D. r
]/Aooa — ~ a -\—- ;
puis
S 2 = 3 + k, D 2 ri 4- 3 k,