342 MÉMOIRES SCIENTIFIQUES DE PAUL TANNERY.
"Oxav bè x'o jj.sv ehrj TcoXXaTcXactcv y) ÈTiqj.cptcv, xo bè inrc'TroXXa'rcXâcatcv ^ û-rteiu-
¡xbptcv, xcxe xy)ç jaeîÇovcç bvojAaa-iaç xcv Xofcu xoaoüxcv picptbv èaxi Xaêeïv 8aov èaxi
xo uxc-, xai xoüxo p.cptcv 1 iaxtv c èXaaawv ay.pcç xcu ¡j.eîÇcvgç cr/.pou ■ cTov laxw
e, b, yj. £ xcD S, a b"’ Eaxtv b b xcü Y] UTCobixXàatoç 2 * xoü apa 3 a y, ai b" xo
yjjjuou 4 XajBoîv.
Ainsi soient les trois termes 5, 4? 8 ; les rapports intermé
diaires sont i j et | ; on divisera donc le premier par 2 (ce qui
donnera \ f pour rapport de 5 à 8).
La fin de la scholie paraît mutilée, comme il est aisé de le voir.
En tout cas, je crois inutile de justifier davantage ce que j’en ai
dit plus haut.
7. J’ajouterai enfin une remarque à propos d’une autre abrévia
tion que j’ai rencontrée dans une scholie R non publiée par Fortia
et qui se rapporte précisément à l’endroit sur lequel a été écrit
le lemme du commentaire sur V, c’est-à-dire la scholie G 16.
Le renvoi à cette scholie est fait dans les termes suivants : btà xb
)â)p4JLa X0 èv XG> 7üV.
Dans cette abréviation, les traits supérieurs du x et du t sont
unis, et dans A, la queue du p se confond presque avec le second
jambage du x, en sorte que l’on peut être tenté de ne reconnaître
qu’un x surmonté d’un p. En tout cas, il me semble qu’on doit
lire Tïapaxt6£[Lévtp (ce qui est mis en marge).
La même abréviation, mais cette fois plus nettement réduite à
x e , se rencontre encore dans A, à la fin de la première scholie (R)
1. jj.opt.cv] IX a <7 oc v A, probablement par la mauvaise résolution d’une abré
viation.
2. bixXaotoç A.
3. apa] p A.
4- Yjpuoo] IX<X<J<70V A. La forme habituelle des abréviations de f ( ju<ju et de
IXaauov explique mieux cette confusion que la précédente.