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TRANSVERSALES
Deuxième démonstration. — Menons par les points B et C
des parallèles à A a, qui rencontrent Cy et Bp respectivement
aux points D et E.
Nous avons (I, 16)
a B U B
aC (JE
et, en considérant le triangle pAO, coupé par la droite CE
parallèle à AO (I, 18),
P~C _ CE
pÂ~~ Âü’
et, de même,
y A AO
yÜ BD
Multiplions ces trois relations membre à membre; nous
obtenons
aB pC yA OB CE
âü ' fx ' 7! — ÜË ’ BD ’
Mais on a (I, 18)
OB = BD = _ BD,
OE Eü CE’
ou
OB CE
OE BD
on en déduit
«b . pc . yA'_ __ , /*v
aC pA y B
Troisième démonstration. —Cette démonstration repose sur
la notion d’aire algébrique, qui a été développée dans le tome I
du n° 143 au n° 156.
Nous avons (I, 147)
a B A a B O a B A a B — O a B
a C A a C O a ( 1 A a C — O a C
Or
A a B — OaB = BÂa + B a O ;
et, comme Aa-f- aO — AO, nous pouvons écrire (I, 148)
AfcB — OaB = BÂÜ = — OAB ;
(*) Monsallut, Journal de Mathématiques élémentaires, l ,r janvier 11)01.