Full text: National reports (Part 2)

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spatiales x, y, z, dans chaque modèle. Dans l'autre cas on mesure seulement les coordonnées 
planes x, y, dans chaque cliché et l'orientation relative devra être calculée en vue de la forma 
tion analytique des modèles. 
Emploi du stéréotopographe Poivilliers - SOM B. P. 
Le mode opératoire dérive de celui qui était en vigueur dans les anciennes méthodes 
d'aérocheminement, avant l'application des méthodes analytiques (cf. communications de 1'I. 
G. N. aux Congrès de Washington - 1952 et de Stockholm - 1956 -). Il en diffère par de notables 
simplifications, par exemple dans la formation du modèle, pour laquelle aucune règle n'est im 
posée. Mais certaines exigences restent impératives. En particulier les chambres de restitu 
tion ne doivent jamais être retirées de leurs supports pendant les mesures relatives à l'ensem 
ble des couples d'une bande, et même si possible d'un bloc, de façon à ne pas modifier les sys- 
tématismes instrumentaux ; les composantes de base By et Bz sont maintenues constamment 
aux valeurs origines de réglage ; quant à la composante Bx, elle est alternativement positive et 
négative mais de longueur fixe (généralement 15 0 mm). 
En cours de travail, pour un couple n - (n + 1) d'une bande, succédant au couple (n-1) 
- n, les opérations successives sont les suivantes : 
- piquage sur le nouveau cliché, à l'aide d'un gabarit, de trois points situés, l'un au centre de 
plaque, les autres sur l'axe transversal à 15 mm des repères. Ces points servent à la trans 
mission de l'orientation, 
- mise en place du cliché (n + 1) dans la chambre libre, avec centrage rigoureux des repères 
du cliché sur les repères du fond de chambre ; introduction de la composante Bx, inversée 
par rapport à celle du couple précédent, 
- formation du modèle en maintenant les composantes By et Bz à leur valeur origine, 
- pointé dans l'appareil de tous les points du canevas et des points de gabarit ; pour chacund'en- 
tre eux, enregistrement des trois coordonnées, après avoir au préalable composé son numé - 
ro sur le clavier du téléscripteur, 
- inscriptions manuscrites complémentaires sur les bandes d'enregistrement en clair : numé 
ros des clichés formant chaque couple, indications " sol ", " mire ", " eau " en face des 
points, etc. . 
Emploi du stéréocomparateur SOM 
L'unité de travail reste la bande de photographies, qui doit être exploitée autant que 
possible sans interruption, c'est-à-dire sans rupture due à un incident fortuit (panne de l'appa 
reil, déplacement accidentai d'un cliché sur son plateau, etc. . ). Pour un couple en cours de 
bande, l'opérateur : 
- place le nouveau cliché sur le plateau libre, en n'assurant que de façon sommaire la coïnci 
dence des repères avec les axes gravés sur la glace du porte-cliché, 
- " sélectionne " le porte-cliché mobile (celui qui porte la plaque nouvelle) ; cette sélection, fai 
te par simple pression sur un bouton, assure l'application à ce porte-cliché des mouvements 
différentiels dx et dy commandés par les deux pédales, 
- pointe les repères fixes des porte-clichés et affiche la lecture zéro ; pointe les quatre repè - 
res de chaque plaque et enregistre leurs coordonnées, 
- introduit la base et assure, par la permutation des oculaires, un examen stéréoscopique nor 
mal, 
- pointe tous les points de canevas du couple et enregistre leurs coordonnées et leur numéro 
(préalablement composé sur le tableau du stéréocomparateur) ; pour les points communs avec 
le couple précédent, les coordonnées lues sur le cliché ancien sont réaffichées à l'armoire é- 
lectronique et le pointé se fait alors par le seul mouvement du plateau portant le cliché nou - 
veau,
	        
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