Full text: Actes du onzième Congrès International de Photogrammétrie (fascicule 3)

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PUG de Wild ou le snap-marker de Zeiss 
nières de s * en servir : 
Il existe deux ma- 
- on peut se borner à marquer chaque point sur un seul 
des clichés par bande, les pointés étant ensuite faits stéréo- 
scopiquement dans chaque bande, au stéréocomparateur . Mais 
il n f est guère pratique d'effectuer un pointé stéréoscopique 
précis si l'un des points est déjà marqué, même si, comme le 
préconise le Pr. E.H. THOMPSON, la forme et les dimensions 
de l'index stéréoscopique sont exactement adaptées à celles de 
la marque : en effet il est bien connu que le pointé par superp 
position d'images identiques est loin d'être aussi précis que 
le pointé par bissection ou par encadrement. 
La deuxième manière d'opérer consiste à marquer tous 
les points sur tous les clichés . Pour effectuer cette opéra 
tion, il faut associer successivement l'un des clichés, sur 
lequel le point aura été choisi; avec tous les autres clichés 
où ce point figure, et effectuer un pointé stéréoscopique 
très précis sur chacun de ceux-ci, le premier cliché étant 
marqué en dernier . On se trouve alors ramené au cas des 
points pré-balisés, et la mesure peut être faite très rapi 
dement au stéréocomparateur . Le Pr. E.H. THOMPSON a critiqué 
cette méthode à la fois sur le plan de la précision et sur 
celui de l'économie . Il est certain que le fait qu'il y a en 
réalité deux pointés, l'un stéréoscopique l'autre monoculaire, 
réduit dans une certaine mesure la précision, sans parler de 
l'erreur commise dans le marquage lui même et de la qualité 
plus ou moins satisfaisante de la marque pratiquée dans la 
gélatine . En revanche, sur le plan économique, il n'est 
guère contestable que l'ensemble marqueur-monocomparateur est 
sensiblement moins coûteux que la plupart des stéréocompa- 
rateurs existant sur le marché, d'autant plus qu'un grand 
nombre de marqueurs peuvent être associés à un seul monocompa 
rateur . Le Pr. THOMPSON a fait remarquer à juste titre que 
l'opération la plus longue et la plus fastidieuse, consiste 
à associer les clichés deux à deux et à les disposer pour 
l'examen stéréoscopique : ceci étant fait il n'est guère plus 
difficile d'effectuer la mesure des coordonnées sur un stéréo 
comparateur que de procéder au marquage . Mais l'ennui est 
que si l'on adopte cette méthode, les mesures devront être 
faites point par point et non plus cliché par cliché; en 
conséquence chaque cliché devra être remis en place pour la 
mesure autant de fois qu'il contient de points,et, à chaque 
fois, il faudra procéder au pointage et à la mesure des 
coordonnées de 2 repères de plaque au minimum, afin que les 
mesures effectuées puissent être rapportées au même système
	        
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