Zusammenfassung
Es wurden zwei Gegenstände behandelt:
Erste Untersuchung:
Experimentelle Untersuchung der optischen Ein-
fliisse der Stadtatmosphdre —
Einfluss der atmosphirischen Verseuchung und
der Art der Visierpunkte.
Diese Untersuchung fand während eines Flu-
ges unter ausserordentlich kennzeichnenden Verhält-
nissen statt. Alle gewünschten Faktoren (Windstille,
starker Verkehr, heisser Tag, verseuchte Atmosphäre
in den unteren Schichten) waren vorhanden.
Bei Vergleich der numerisch restituierten Ko-
ordinaten, die unter verschiedenen Winkeln in einer
geschlossenen Zone von 12 sich überdeckenden Pho-
topaaren gesehen wurden (durch seitliche oder längs-
seitiges Zusammenstellen je zweier benachbarter
Photos) konnte formell geschlossen werden:
— dass die verseuchte Atmosphäre keinerlei Ein-
fluss auf die photogrammetrische Genauigkeit
ausübt,
— dass die Hauptabweichungen auf räumlicher,
durch grosse Kontrastunterschiede bedingte Ver-
schiebung der Visierlinien beruhen.
Zweite Untersuchung:
Ungenauigkeit der Linien hohen Kontrastes von
Luftaufnahmen.
Zuvor wurden Messungen der Spitzwinkligkeit
und des Randeffektes vorgenommen.
Man photographierte ein auf dem Negativ weiss
erscheinendes Band, das von zwei dunkeln Bändern
eingefasst war. Alle Ränder waren parallel.
Das Breitenverhältnis des ersten Bandes zur
Breite eines der anderen Bänder wird mit dem Ver-
hältnis, das sich bei Auswertung des Negativs mit
dem Mikro-Densometer ergibt, verglichen.
Es wurden drei Versuchsreihen durchgeführt,
zwei im Flug und eine im Laboratorium (verschie-
dene Verschlussgeschwindigkeiten und verschiedene
Emulsionen).
Die Bedeutung der Schlussfolgerung zeigt, dass
die Tragweite der Ergebnisse das Gebiet der Stadt-
Photogrammetrie weit überschreiten, gibt zur Fort-
setzung der Untersuchungen Anlass.
Bei normalen Arbeitsbedingungen kann die Ge-
samt-Ungenauigkeit der Lage der Grenzlinie (Per-
spektive eines Kontrastes) 15 bis 30 u oder mehr er-
reichen.
Introduction
A la suite des résolutions de la Commission IV
prises à LISBONNE en 1964, lors du 10*"* Congrès
International de Photogrammétrie, une conférence de
photogrammétrie urbaine a été tenue à PARIS en
présence du Président HARRY, avec 60 participants,
7 pays étaient représentés, du 20 au 22 Octobre 1965.
Ses travaux ont abouti aux huit résolutions sui-
vantes:
La Conférence attire l'attention des instances
compétentes — Société Internationale de Photogram-
métrie, OEEPE, etc.... — sur l'intérét de certains
problémes susceptibles de recherches spécifiques, dans
le domaine des levés photogrammétriques urbains.
1. — Effets optiques de l’atmosphère urbaine —
(Présidence de M. le Dr. HARRY)
Les variations accidentelles du gradient de la
température dans la masse atmosphérique urbaine,
dûes aux influences thermiques, la pollution atmo-
sphérique dûe aux fumées et la pollution de la cou-
che au niveau du sol (de O0 à 1m) provoquée par les
déchets de combustion des hydro-carbures, provo-
quent un ensemble de perturbations optiques.
Des conséquences sur l’abaissement de la pré-
cision de formation du modèle et, celle de la restitu-
tion en général, ont été statistiquement observées
(Tchécoslovaquie).
La conduite d’expériences systématiques pour-
rait tenter de séparer et d'estimer cette cause d'erreur.
La solution analytique proposé (M. de Font-
guyon) consisterait en des études de couples consti-
tués par des combinaisons diverses de clichés issus
de vols faits — à diverses altitudes — avec recouvre-
ments de 80 % dans les bandes et de 60 % entre
bandes voisines.
2. — Imprécision des pointés sur des lignes de
contrastes urbaines élevés
(Présidence de M. le Dr. HARRY)
Des parties des images photographiques urbai-
nes comportent fréquemment des lignes de contact
entre plages de contrastes très différentiés, spéciale-
ment dans les zones d'édifications nouvelles. Ces
lignes sont à considérer pour la restitution et parfois,
pour la formation des modèles.
Il a été généralement observé que des impréci-
sions affectaient les pointés stéréoscopiques effectués
sur ces lignes, laissant présumer que celles-ci subis-
saient un léger déplacement dans les clichés.
Le phénomène appelé acutance ou «effet de bord»
(M. BABY, Ingénieur à la Société Kodak-Pathé)
pourrait faire l’objet de micro-mesures destinées à
définir:
— la part physico-chimique ou physiologique du
phénomène,
— ]a variation optimum de densité des points choi-
sis pour la formation d’un modèle siéréoscopi-
que urbain.