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Dés le début on a constaté d'aprés l'allure
des profils (fig. 6) qu'entre ces éléments il y a
un rapport étroit et on a établi la nature de ce
rapport (direct ou inverse). Ces déterminations
qualitatives ont été confirmées par l'analyse
corélationnelle. Ainsi, on peut voir, dés le com-
mencement, selon le signe des coefficients de
corrélation (simples ou pures) la nature du rap-
port de corrélation (direct ou inverse); ceci est
également identifié d'aprés le signe des coefficients
des équations de regression (par expl. les rap-
ports de corrélation inverse entre y et x, respec-
tivement x, peuvent être relevés non seulement
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d'aprés le signe des coefficients de corrélation, mais
aussi d'aprés lesigne des coefficients de l'équation
de regression).
On a vérifié la normalité et la linéaireté des
distributions bidimensionnelles (fig. 7 et fig. 8).
On peut donc tirer les conclusions les plus complé-
tes et les plus représentatives des coeíficients de
régression partiels, au cas où l’on étudie le rapport
entre deux caractéristiques, tout en éliminant
l’influence des autres (qui ont été bien entendu
incluses dans l’analyse).
III. Conformément à l’analyse statistique de
la zone, on peut établir les valeurs des probabili-
Fig. 8. Vérification de la linéaireté des distributions bidimensionnelles
yx, 35
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