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graphe, construit 1923 par Bauersfeld, de la maison de commerce Zeiss. Dans la
suite de ce Congrès on prépara une concurrence internationale des créations
d’appareils de restitution photogrammétriques en Allemagne, en France, en
Italie, en Suisse et dans les autres Etats. De ce Congrès il résulta une efficacité
éclatante du travail d’ensemble scientifique international, qui contribua à créer
de nouveau les liaisons entre les nations, étant interrompues par la guerre, par
la guerre, pour une relation productive.
De ce Congres il ensuivit rapidement la fondation des Sociétés nationales
de Photogrammétrie et le III Congrès International, ayant lieu en 1930 à
Zürich, réunit déjà 13 Sociétés nationales.
Deux années plus tard on fêta a Vienne les 25 ans de fondation de la So
ciété Autrichienne de Photogrammétrie. A cette fête ont pris part des délégués
de toutes les sociétés nationales photogrammétriques. Parmi ces participants se
trouvait le président français des Ministres et mathématicien connu Painleve
comme chef de la délégation française.
En 1934 suivit le IV Congrès International à Paris, auquel participaient
déjà 19 sociétés nationales, parmi eux l’American Society of Photogrammetry.
C’était le dernier Congrès auquel je prenais part malgrémes 73 ans. Le Congrès
suivant, le V qui avait lieu en 1938 à Rome, était déjà ombragé de la deuxième
guerre mondiale.
C’est un mérité pas encore estimé à sa juste valeur, que le Président de la
Société Internationale, Schermerhorn convoqua le Congrès suivant à la Haye,
la ville de résidence de la Hollande, trois ans après la fin de la guerre mondiale.
A ce congrès participaient 17 Sociétés nationales et la Société Internationale de
Photogrammétrie fut presque la première union scientifique, qui rendit possible
de nouveau le travail d’ensemble.
Comme le Prof. Schermerhorn dit à la Semaine Géodésique à Cologne en
1950 dans son discours plein d’effet sur la Photogrammétrie et l’Economie uni
verselle, la Photogrammétrie a des buts grands et nouveaux dépendant du
développement internationale économique. Pour cette discussion concernant
ces nouvelles questions il n’y a pas de lieu plus favorable que Washington, la
capitale de cet Etat, dans lequel l’application de la Photogrammétrie aerienne
est tellement extensive non seulement pour les buts de mesurage, mais aussi
pour des buts géologiques et pour l’économie agriculture et forestière.
Pour cette raison on peut s’attendre qu’il y aura à ce congrès un échange
précieux des idées sur la Photogrammétrie entre les Etats du monde ancien et
du monde nouveau, qui sera de plus grande importance pour le développement
de notre science. Et pour cela, je souhaite au VII Congrès International de
Photogrammétrie un travail prospère, un plein succès et une réunion cordiale
entre les photogrammétreurs de tous les Etats, comme il existait toujours dès
la fondation de la Société Internationale.