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repose sur le contrôle comparatif détaillé de trois chambres grand-angulaires 
entrepris en collaboration avec un autre laboratoire et exécuté par des obser 
vateurs indépendants. Les différences ainsi mises en évidence ont été de l’ordre 
de quelques microns. Dans le cadre de cette Section, je voudrais au si mention 
ner que beaucoup de nos utilisateurs nous retournent leurs chambres pour les 
faire étalonner après chaque campagne. En conséquence, nous avons confiance 
dans la répétition de nos résultats et dans l’invariabilité des constantes des 
chambres métriques. 
2.2.2. Point principal d’autocollimation: nous trouvons que la surface réflé 
chissante d’un bain de mercure permet la méthode d’autocollimation la plus 
satisfaisante. 
2.4. Mire: la mire préférée pour l’étalonnage photographique est une croix de 
Malte à grand contraste, sombre sur fond clair. Le plaque photographique que 
l’on obtient ainsi donne des mesures beaucoup plus précises, les traits simples de 
l’oculaire micrométrique de l’instrument de mesure normalisé bissectant sim 
plement les images de la mire en un seul point, ce qui n’oblige pas à définir le 
centre exact d’un micromètre en croix bien orienté. 
2.6. Nombre des angles de champ donnant lieu à mesures: une série de neuf 
mesures est faite, en dehors de l’axe, sur chaque demi-diagonale, aussi bien dans 
la méthode photographique que dans la méthode visuelle. Ceci permet de 
mieux définir les courbes exprimant les résultats. 
2.7. Filtres: nous considérons que le filtre jaune standard est partie intégrante 
du système optique auquel il est associé par un même numéro. Les filtres mo 
dernes à depot compensateur réduisent l’éclairement paraxial d’environ un 
diaphragme. 
2.8. Ouvertures: des essais exécutés sur une chambre grand-angulaire à diffé 
rentes ouvertures n’ont révélé que de faibles variations dans de tracé des cour 
bes de distortion. A 40° de l’axe, les courbes étaient identiques. Entre 40° et les 
bords du champ, l’écart maximum était de 15 microns. La distance principale 
déduite de chacun de ces essais a présenté une dispersion maximum de 3 mi 
crons. Un léger décentrage du diaphragme est demeuré sans effet sur la dis 
torsion. 
3. Lumière parasite: Nous avons acquis l’expérience que la lumière parasite 
est un défaut résultant du type de chambre ou d’objectif et que pour un type 
déterminé, il ne doit pas être nécessaire d’exécuter des mesures de la lumière 
parasite sur chaque chambre. Nous traitons toutes les surfaces air-verre de nos 
appareils. 
M. J. Cruset, France: 
Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, je crois qu’on peut affirmer 
que les membres de la Commission I, en donnant suite au voeu formulé à La 
Ffaye par le Captain O. S. Reading, ont donné un bel exemple de ce que peut 
et doit être l’activité des Commissions de la Société Internationale de Photo- 
grammétrie dans l’intervalle des Congrès. Et pourtant, en dépit du travail im 
portant fourni par nombre de spécialistes et particulièrement par le President 
et le Secrétaire de la Commission I, le Dr. Howlett et P. D. Carman, nous ne 
sommes pas encore arrivés à un texte définitif. Je voudrais essayer de dégager 
ici quelques raisons de cet état de choses.