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qui, appliquée au point N (y — 0) et aux points A et A" (y/z = ± t), doit four 
nir deux valeurs égales de A bu 
Ab, =Ab,+ ¿f-AZN - ^7* '= A *' + jA 2a + | A 2a , ) - --¿(4 *- 7 A. ) 
dans lesquelles 
» ?/ 
e=[d/' — (5/+ &(a”+ </)] = (A£j—A^„)+ / Az.y ] : ^ x — 
V/b 
2(A/ ?1 —A^) + 2_ ( - " / 
Aza H Az 
Z Z 
42( 
£ 
2. Inclinaison su de la base sur l'horizon et composante verticale bzu. — La 
différence Qu = (au — au— i) de calage angulaire du faisceau perspectif k com 
prend un terme constant a provenant des erreurs systématiques de calage et de 
la convergence des verticales aux extrémités de la base et au terme variable eu 
représentant la différence d’inclinaison des deux bases (k—1) et k sur l’hori 
zon : f)i: = a + eu, d’où l’inclinaison de la base 
Su = Si + / | O — (k — 1 )a 
et la valeur de sa composante bzu — (b — A bu)su. Le couple n étant suppose 
appuyé sur des points dont le nivellement relatif est connu on a 
Si 
n 
y ©):(»—!). 
3. Calage transversal (pu. du faisceau k. — L’erreur systématique f> = /T — 
— /?' de calage relatif transversal des faisceaux perspectifs fausse linéairement 
l’inclinaison transversale des couples, le calage correct est 
(pu = iu — (k — l)/3; 
on peut avoir fl par relation 
, ,n y V (b A b a \ V ( h h 
(»-m m=2Jz A z *—y A z *' ) - e 2A7 i_ z" 4 ' 
ou, après le basculement du couple n sur ses points de canevas, de nivellement, ce 
qui fournit (p„. 
d = (in — (pn) : (n—1). 
4. Gisement gu de la base. — y étant l’erreur systématique de déversement 
relatif, A æ la différence des abscisses d’un même point de connexion A ou A