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ire Arabian peninsula, 
ng photographed as a 
mpiling a topographic 
a around Bello Hori- 
e. Photogrammetry is 
:tion of the time that 
the first step toward 
been helping the Boli 
ng to carry out aerial 
ration which will also 
ict, as is our practice, 
ve used existing aerial 
3ne was that of Ethi- 
m during World War 
lue Mile area, 
i. They have not been 
nt been classified, their 
en cut through with 
ling into country like 
rsian rug. He sees no 
a range of vision, 
an work only at pro 
hand. Sooner or later 
can be plotted, maps 
This is highly impor- 
a census. When there 
npaign is being carried 
send the few teachers 
it to know where the 
not know. But with 
houses. With a pretty 
could make a census 
n history — and the 
Roads say that aerial 
tile stretch of the Pan 
a substantial amount 
as photogrammetry 
regions of the world 
velopment, about to 
e are trying to do in 
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a few years what ordinarily would take lifetimes to accomplish. Neither the 
Point 4 program nor the UN program of technical assistance would have been 
possible fifty years ago — there wasn’t enough know-how in the world to make 
them succeed. It would not be possible now except for the rapid development 
of sciences such as photogrammetry which cut years off the timetable, which 
make things possible which used to be impossible. 
I am happy to have had this opportunity of talking with you, and I hope 
that all of us will be engaged in a useful partnership in world development for 
many years to come. 
LA PHOTOGRAMMETRIE, OUTIL DU DEVELOPPEMENT 
ECONOMIQUE INTERNATIONAL 
par 
E. Reeseman Fryer, 
Administrateur adjoint du Service pour le Développement du Proche Orient et 
de l’Afrique, Administration de Coopération Technique, Département d’Etat. 
Il serait vraiment ridicule de ma part que d’essayer de vous parler comme 
si j’étais un spécialiste de la photogrammétrie. 
J’ai même la plus grande difficulté à comprendre le langage que vous 
utilisez. 
Cependant, il y a un certain nombre de points relatifs à la photogrammé 
trie que je comprends effectivement, et pour moi, ce sont eux qui sont les 
questions vraiment importantes. 
Le premier point est qu’il est essentiel de disposer de cartes pour les mises 
en valeur de presque toute nature. Elles sont nécessaires à l’établissement du 
plan d’utilisation du sol, à la construction des routes importantes, à l’améliora 
tion des ports, à l’irrigation et au drainage des terres, au développement de 
l’énergie, à la recherche minière, à l’exploitation forestière et à presque tous 
les autres domaines intéressés par le progrès. 
Le second point est que la photogrammétrie constitue le moyen le meilleur 
marché, le plus rapide et, dans beaucoup de cas, le seul applicable, pour obtenir 
les cartes de bases dont nous avons besoin dans toute opération de mise en 
valeur. 
Un troisième point est que la photographie aérienne, notamment la photo 
graphie à grande échelle est utile et précieuse dans des cas extrêmement variés, 
peut être dans beaucoup plus de cas que nous n’en avons encore découverts. 
On utilise les photographies aériennes pour le recensement, l’estimation des 
récoltes, l’inventaire des forêts, le contrôle de la malaria, les levés cadastraux et 
d’autres activités servant à développer les ressources et à augmenter le niveau 
de vie dans maints endroits du monde. 
Une quatrième chose que je puis comprendre est que la photographie 
aérienne, menée de pair avec la magnétométrie et quelques autres techniques 
du prospecteur moderne, aide à situer d’importantes sources nouvelles de 
matières premières utiles et stratégiques. Cela n’a pas seulement une grande 
signification pour les efforts de défense immédiats du monde libre, mais ce qui