ce Padi: 
    
  
    
  
  
  
   
  
  
  
  
  
  
   
  
  
   
   
  
  
  
  
  
  
    
  
    
   
   
  
   
  
  
  
  
   
  
   
     
Les points nouveaux situés sur les bords du ruban étant communs à deux 
bandes adjacentes se trouvaient déterminés par deux aérotriangulations indé- 
pendantes. On a calculé l'écart moyen par rapport à la moyenne arithmétique. 
Pour un groupe de rubans choisi au hasard, on a obtenu : 
Pour les X : + 0,35 m (et plus tard : = 0,28 M) ; 
Pour les Y : + 0,30 M; 
Pour les Z : + 0,40 m. 
Durée des opérations. L'orientation, les lectures, le dessin du canevas 
et le marquage de la première paire ont pris deux heures; pour les paires 
suivantes : une heure à une heure et demie. Pour le calcul : un peu moins d'une 
heure par paire, et le méme temps pour l'arrangement du matériel, la préparation 
des diagrammes et des feuilles auxiliaires pour l'appareil de restitution. 
10. ITALIE. 
L’Institut Géographique Militaire pratique l’aérotriangulation de bandes 
courtes pour la carte de base au 1/25.000. Après compensation linéaire, la 
précision altimétrique est de 1,5 m. 
Depuis 1948, la Société E.I.R.A. fait une étude systématique de la méthode 
solaire. Un premier essai, au début de 1948, portant sur de longues bandes 
prises avec une chambre à film, a mis en évidence d'assez grandes parallaxes 
résiduelles dues au défaut de planéité du film. 
Aprés 1948, M. Santoni a imaginé une nouvelle méthode remarquable 
pour l'aplatissement du film. Une communication sera faite à ce sujet à la 
Commission I. Cette méthode a permis d'exécuter de nouveaux essais sur 
lesquels il sera fait rapport au Congres. 
Ces essais comportent deux rubans parallèles de 100 km, photographiés 
au moyen de la chambre triple Santoni (18 X 20 cm, { = 135 mm, altitude 
de vol: 4.000 m, B/H = 0,5, échelle des clichés : 1/30.000 environ). La 
distance des axes des deux rubans est d'environ 15 km. Dans chaque ruban, 
on dispose de trois groupes de 8 points terrestres, un à chaque extrémité et un 
au milieu. Le nombre assez élevé des points de chaque groupe a été rendu 
nécessaire par la qualité médiocre des clichés pris en novembre. 
11. PAYS-BAS. 
a) Aux Pays-Bas, l'échelle des clichés varie de 1/5.000 à 1/20.000; en 
région tropicale, de 1/16.000 à 1/40.000. 
b) Plans de vol : On emploie généralement des rubans parallèles, parfois 
complétés par des bandes transversales. 
c) Types de chambres : 
Aux Pays-Bas : RC5, f — 21 em, b/h= 1/3. 
En région tropicale : Zeiss P 10, 110 cm, 0/H = 5a0,7. 
Williamson, 6" / 9 X 9, b/h — 0,0. 
Wild RC 5, f — 11,5 em. 
d) Points d'ajustement : 
Aux Pays-Bas, oü l'on ne détermine par triangulation que les coor- 
données X et Y, on utilise 2 points de 5 en 5 modéles. En région 
tropicale, les densités sont variables.