les relations d'observation devraient s'écrire :
dM, + M, — M, =u,
d M, si M, €—À M, — M
d M, SE M, T7 M. — Wig
Mais les observations dans les couples A, B, C, ne sont définies qu'à
une translation prés, caractéristique de chaque couple. On a donc :
d M, + M, — M, + T = To
dM, he M, m M, + TT — s
-—>— — — — —>
d M, EL M, — M. + T. — Uc
En l'absence de toute erreur systématique, ce systéme peut étre traité
par la méthode des moindres carrés dont les équations normales sont (on sen
assure facilement)
Equation dans peak le nombre p représente le nombre des obser-
vations de M, T la. T /... les translations inconnues subies par chaque
couple contenant M.
^ ces équations normales viennent s'adjoindre les équations normales
en T qui sont de la forme :
> > > >
X dM, + nT: + = (M,-— M,) =o
A A
équation dans laquelle n est le nombre des points observés dans le couple A,
X, signifiant sommation pour le couple A des variables d M, (inconnues),
et où les valeurs (M, — M. ) sont termes numériques connus. Ces équations
vectorielles se disjoignent en 3 composantes relatives aux variables x, y, z
le problème se présente donc en définitive comme un problème à variables
séparées.
On aboutit en définitive au système normal suivant :
p d M, = T. zu Ts SE Ta 3 X (M, — M, ) — 0
q d N° + T, + T, "dee. fe (N,—N,)-—0
dM, + dN, + .... + nF, + MM) =0o
Système dont les coefficients numériques sont les mêmes pour les 3 types
de variables et qui par conséquent, aux termes constants près, comporte la
méme résolution pour les x, y, z
—29 amu