1S à craindre que des 
s barres conductrices 
axes d’un théodolite. 
entre 450 et 750 mm 
au À 7 cette distance 
médiatement sous le 
liaison rigide avec les 
nière entre l’image et 
us d’organes optiques 
A7 
1ge de l’appareil. Ce 
e de base, le chariot 
its. On rend d'abord 
is l'index métrique 
le centre du porte- 
le qu’on puisse con- 
inimum. 
identificateur pour 
our l’œil gauche et 
du côté correct; on 
's en déversant de 
1002 les images considérées séparément ou prises simultanément, ce qui facilite le 
travail pratique à l'appareil. L'optique d'identification est améliorée et posséde un 
pouvoir résolvant élevé; l'image peut étre agrandie à volonté entre 6 et 10 fois, en 
changeant les oculaires, ce qui répond à toutes les exigences. 
La transposition optique des images facilite la connexion des images moyennant l'em- 
ploi du dispositif pour passer de la «base interne» à la «base externe»; la restitution 
de modèles isolés est facilitée également car l'ajustage des porte-clichés et l'orientation 
absolue s'opérent en beaucoup moins de temps. 
Toutes ces possibilités des dispositions optiques se traduiront certainement, pour 
l'aérotriangulation, par un rendement économique accru. Il faut s'attendre, à l'avenir, 
à un emploi bien plus fréquent de l'aérotriangulation que ce n'est le cas maintenant; 
à cet effet le A7 fut aménagé pour permettre différentes méthodes spéciales d'aéro- 
triangulation. 
Tous les éléments destinés à la commutation et à l'orientation sont commandés depuis 
le siége de l'observateur. Le chariot des X et des Y est conduit librement, lors de 
l'orientation, comme précédemment. 
Un mécanisme commutateur automatique permet tous les rapports d'échelles entre 
l'autographe et la table à dessin; il fournit, pour les échelles usuelles de report, une 
lecture directe en métres ou en pouces anglais au moyen du compteur altimétrique. 
Des compteurs de grandes dimensions permettent la lecture commode des coordonnées 
et éléments d'orientation. 
Un engrenage intermédiaire, construit sur demande, donne aussi directement les 
échelles cartographiques 1:1200, 2400, 4800 et 6000 ainsi que 1 inch — ] mile, etc. 
avec lecture en métres ou en pieds au compteur altimétrique. 
En ce qui concerne la table à dessin mentionnons seulement l'adjonction d'un second 
chariot pour crayon traceur; celui-ci permet de restituer des jonctions sur des feuilles 
voisines, simultanément, et pour des positions quelconques de ces feuilles. 
Un dispositif additionnel permet l'enregistrement de coordonnées instrumentales 
point par point; à cet effet le A7 peut, à l'avenir, être doté d'un enregistreur électrique 
de coordonnées. On envisage cependant de n'adapter cet enregistreur que sur demande 
spéciale; ce dispositif ne jouera en effet un róle, pour l'enregistrement de coordonnées 
de points-limites, qu'assez rarement lors d'applications dans le domaine cadastral. 
En terminant, mettons encore en évidence le fait, que par l'agrandissement du format 
le caractére d'universalité est encore plus grand que celui obtenu avec le A5, au point de 
vue des appareils de prise. On peut en effet restituer maintenant toutes les prises de 
vues dont les formats atteignent jusqu'à 23 x 23 cm tandis que les distances focales 
varient entre 98 et 217 mm; en outre des distorsions éventuelles des objectifs de prise 
peuvent de nouveau étre éliminées de la facon la plus simple et irréprochable au moyen 
de nos plaques compensatrices ayant fait amplement leurs preuves. 
Toutefois, un service photogrammétrique, considéré au point de vue économique, ne 
pourrait plus étre qualifié de complet s'il n'était doté que d'appareils de précision. 
Une partie de la documentation doit étre établie à l'aide d'appareils restituteurs plus 
simples. 
Une combinaison de l'autographe A5 et du stéréorestituteur A6 a partout fait ses 
preuves en pratique; c'est notamment le cas gráce à l'état actuel du A6, caractérisé 
par un accroissement dans la finesse de construction et par une amélioration de la 
fabrication.