dé nouveau mis à la
vermis d'envisager et
astes régions.
lle est généralement
la carte, mais aussi
soit comme complé-
de remplacement de
aphique de la photo-
sant, ce qui a justifié
création d'une com-
ion et d'exploitation
es, et des techniques
our être considérée
aire à des conditions
photographies à axe
itoire;
rture:;
int l'exploitation des
iliers.
mement difficiles à
> menées à bien que
ographique National
du personnel et du
ice Géographique de
déja constitué une
e de photographies
és au cours des dix
scadrilles Photogra-
e et aux ordres de
Considérons l'exécution d'un levé régulier à l'aide d’un matériel photo-
grammétrique déterminé. Si l'on diminue l’échelle des clichés utilisés, la
précision altimétrique de la restitution décroît tandis que le rendement et
l’économie des travaux croissent rapidement.
Pour avoir un rendement élevé dans les travaux d'établissement d'une
carte de précision fixée, on devra donc utiliser des clichés à l'échelle la plus
petite possible compatible avec la précision exigée, par conséquent l'utili-
sateur a un intérét marqué à rechercher le maximum de précision dans les
appareils et les méthodes photogrammétriques utilisés.
Toutes les recherches de l'I.G.N. effectuées depuis le début de l'exploi:
tation de la Photogrammétrie en France ont tendu a réduire les erreurs :
chambres métriques étalonnées à la précision maximum en distance princi-
pale et distorsion, utilisation exclusive de plaques pour les levés aux grandes
et moyennes échelles, accord rigoureux des objectifs utilisés à la restitution;
réglages mécaniques et optiques aussi poussés que possible des appareils de
restitution; mise au point des procédés d'exploitation; sélection rigoureuse
des restituteurs, etc...
On est cependant limité dans cette voie par les possibilités de la Technique
photographique. Actuellement on ne peut espérer exploiter cartographique-
ment des clichés aériens dont l'échelle est inférieure au 1/60.000. À partir
de cette limite une quantité de détails devant figurer sur une carte (méme à
petite échelle) n'apparaissent plus sur les photographies; la rédaction défi-
nitive du levé nécessite un important travail de complétement sur le terrain
qui retire une grande partie d'intérét au levé photogrammétrique.
Ces quelques considérations montrent que le matériel doit être adapté
à l’échelle des levés réguliers à exécuter :
Ainsi, des équipements de très haute précision seront indiqués pour les
levés aux échelles supérieures à 1/30.000.
Au contraire pour les levés aux petites échelles (1/100.000) on
atteindra rapidement une précision instrumentale surabondante sans pour
Echelle des clichés
S
cela augmenter le rendement, puisque le rapport — — — — — —— —— sera
Echelle du levé
toujours voisin de 2 et ne pourra étre réduit.
C'est dans la simplification des instruments, leur adaptation aux levés
aux petites échelles et surtout dans la réduction des travaux de terrain ( Aéro-
triangulation) que l'on devra alors rechercher l'économie des levés.
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