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différence existant entre l'erreur moyenne quadratique des points cotés déter-
minés par l'appareil restituteur et celle des points dont les altitudes sont inter-
polées entre les courbes tracées stéréoscopiquement. Les contróles sur le terrain
de nombreuses cartes établies par photogrammétrie par l’U.S. Geological Survey
ont généralement confirmé les facteurs -C choisis pour les différents instruments.
En dépit de cet accord satisfaisant, les procédés de contrôle devraient bien être
améliorés. Puisque les courbes 7e niveau ne sont pas tracées par les méthodes
d'interpolation du topographe-plancheteur, elles ne devraient plus étre contró-
lées par interpolation sur le terrain. On devrait plutôt déterminer au moyen de
l’appareil restituteur un réseau de points cotés identifiables. Ceux-ci seraient
vérifiés sur le terrain en vue de définir les qualités de l’appareil. Après un tel
contrôle, l’appareil lui-même pourrait servir à contrôler la précision des courbes,
non en les retraçant à nouveau, mais par un procédé de détermination de points
cotés, qui éliminerait le mouvement continu de l’index aérien, c’est-à-dire que
l’opérateur mettrait le compteur d’altitude à la valeur correspondante à la cour-
be, et viendrait ,,heurter” l'index contre l'image plastique, pour vérifier la pré-
cision de position des courbes.
Un tel contrôle serait comparable à celui que fit le Professeur Finsterwalder
lorsqu’il compara les courbes tracées au multiplex avec celles tracées par le
Stéréoplanigraphe. Mais il évite de faire la comparaison entre les appareils et il
fait reposer l’évaluation du combinat: appareil-opérateur sur des altitudes
absolues déterminées sur le terrain.