BS. 
al a été officiellement 
ionale française, dans 
es clichés aériens pris 
photographie aérienne 
-nviron un million de 
archivage des films : 
ement aménagé pour 
de climatisation pour 
1um. 
17, assurent outre la 
i:breux tirages, agran- 
hotographie aérienne. 
la méme vitesse que 
réguliére existe déjà, 
s un puissant moyen 
ngénieurs de travaux 
abondante clientèle 
hes du Service; c'est 
:thodes de restitution. 
tiale. C'est elle, qui 
ies dans ce domaine, 
iux pratiques d' Aéro- 
ment du canevas de 
pographes Poivilliers- 
‘atelier de réglage et 
ution; l'atelier de ré- 
neurs et d'Adjoints 
e canevas nécessaire 
iens. 
En FRANCE, pour la Nouvelle Carte au 1/20.000, le canevas de 
restitution résulte exclusivement de mesures faites sur le terrain. 
En s'appuyant sur le canevas géodésique existant en général jusqu au 
4* ordre, et sur les repéres de nivellement général, les équipes de stéréopré- 
paration déterminent par relèvement et intersection : 
— 2 points identifiables en moyenne, par couple, calculés par leurs 
3 coordonnées X Y Z; 
— 8 à 10 points identifiables par couple, connus seulement par leur 
altitude, ou calculés en altitude au moment de la restitution, ea 
combinant les distances déterminées à la restitution avec les angles 
zénithavx mesurés sur le terrain. 
En AFRIQUE DU NORD, la méthode de détermination du canevas 
repose sur les mêmes principes, mais depuis 3 ans déjà, le canevas est réduit 
en ce sens qu’un couple sur cinq en moyenne, est équipé sur le terrain, le 
canevas des couples intermédiaires étant déterminé après coup par chemi- 
nement photogrammétrique (aérotriangulation spatiale) sur les stéréotopo- 
graphes Poivilliers type B (1). 
Dans les Territoires de l’Union Française, en dehors des rares cas ou 
il existe un réseau de triangulation géodésique, le canevas planimétrique 
nécessaire à la restitution est déterminé par une triangulation radiale appuyée 
sur points connus déterminés par observations astronomiques. 
Le canevas altimétrique est déterminé par comparaison des mesures 
barométriques faites par des équipes mobiles avec celles faites aux mêmes 
heures en des postes fixes encadrant la zone d'opération. Les barométres 
utilisés sont à mercure de type Fortin; des essais sont en cours pour remplacer 
les barométres Fortin des équipes mobiles par des barométres anéroides de 
précision. 
5°) La Section des travaux de restitution aux grandes et aux moyennes 
échelles. 
Cette section comprend : 
— l’Atelier de quadrillage et de préparation des stéréominutes néces- 
saires à l’ensemble des Sections du Service; 
— deux Ateliers de restitution aux grandes échelles, qui disposent de : 
2 stéréotopographes Poivilliers-S.O.M. type A, 
36 stéréotopographes Poivilliers-S.O.M. type B. 
(1) Pour plus de détail sur la méthode d'Aérotriangulation employée, nous renvoyons aux 
Communications présentées par l'I.G.N., à la Commission III. 
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