Full text: Actes du 7ième Congrès International de Photogrammétrie (Troisième fascicule)

   
   
    
    
   
  
  
   
   
    
    
  
    
   
  
  
     
    
  
    
   
   
   
    
   
   
    
   
    
   
    
»togrammétrie apporte 
jue relative à un acci- 
homme de loi sur l'ap- 
ale. 
entation photographi- 
à la métrologie et à la 
cistence de ces moyens 
t de vue de l’économie 
institutions judiciaires 
ue leur offre la photo- 
s. Il prédit que chaque 
éoscopique pour mieux 
e des accidents ou des 
:$ MARQUES 
is par les photographies 
f à un accident de voi- 
de montagne mouillée, 
ns opposé et fut broyée 
le la voiture fut tué, et 
juée de poursuites judi- 
e, sur le bon cóté de la 
,une derniére chance" 
( ,derniére chance". 
, si l'on pouvait démon- 
h était moindre que 80 
avoir dépassé la vitesse- 
einage était une photo- 
ir, qui était la compa- 
erminer la longueur des 
à répondre à une série 
e. 
, ou du moins n’est pas 
mme éléments que de la 
able l'emploi de la pho- 
(551) 
3?. La Photogrammétrie ne s'applique pas à une photographie prise avec une 
chambre non métrique. 
A l’objection N° 1, on répondit par un bref historique de la Photogram- 
métrie en tant que science, en signalant son emploi généralisé à travers le mon- 
de, et le progrès rapide de ses applications aux Etats-Unis. 
A l’objection N° 2, on opposa l’explication suivante: en vue de déterminer 
les caractéristiques d’une chambre, on peut l’étalonner aussi bien après la prise 
de vues qu’avant; en outre, les éléments dont on a besoin peuvent s’obtenir au 
moyen d’une seule photographie combinée avec la mesure sur le terrain de 
certains des détails figurant sur la photographie. 
A l’objection N° 3, on opposa les éléments résultant d’un étalonnage de la 
chambre en question, d’une étude de déformation de film, et le calcul du pou- 
voir séparateur. 
Il fallut employer une méthode assez particulière pour déterminer la lon- 
gueur des traces de freinage. On définit analytiquement un plan de référence 
arbitraire contenant ces traces de freinage. Les éléments d’appui furent con- 
stitués par la hauteur au-dessus du sol des feux arrière de la voiture et la dis- 
tance de ces feux arrière à l'objecuf de l'appareil photographique. 
La valeur calculée des marques de freinage fut de 65,2 pieds (19,6 m), 
avec une erreur probable de 3,1 pieds (0,90 m), c'est-à-dire largement dans la 
limite des tolérances admises. 
Par la faute de magistrats non familiarisés avec cette science, la Photo- 
grammétrie se trouva dans la nécessité de justifier d'abord sa valeur en tant que 
procédé de mesure universellement reconnu, et ensuite de prouver sa précision 
dans une application aussi peu orthodoxe que celle-là. 
QUELQUES PROBLEMES DE SYLVICULTURE NON ENCORE 
RESOLUS, SOLUTIONS PROPOSEES 
par 
John C. Sammi. 
Il y a peu de problèmes de photogrammétrie aérienne appliquée à la sylvi- 
culture qui, lorsqu’ils auront été résolus, ne contribueront pas à fournir des 
enseignements faisant encore défaut à la photogrammétrie aérienne en général. 
Les problèmes de sylviculture couvrent un vaste champ d’activités et d’études, 
et on a recours aux photographies aériennes dans presque toutes ces activités et 
ces études, pour atteindre certains objectifs bien définis. C’est dans le domaine 
de l’évaluation et de l’inventaire des bois d’ouvre qu’on a fait le plus large em- 
ploi et le plus simple de la photographie aérienne. 
La précision à atteindre dans une évaluation de bois d’oeuvre dépend du 
but recherché. Si l’on veut inventorier des arbres un par un ou des essences d’ar- 
bres, la photographie aérienne n’apporte encore, dans son état actuel, qu’une 
aide de peu de valeur. Par contre, si l’on se propose de faire une évaluation par 
hectare d’un gisement forestier couvrant une large surface, la photographie 
aérienne se révélera une aide précieuse. L’emploi de la photographie aérienne 
étant relativement récent, et la marge bénéficiaire sur les produits de nos forêts 
  
  
 
	        
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