Full text: Actes du 7ième Congrès International de Photogrammétrie (Troisième fascicule)

  
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étant relativement restreinte, il a fallu, à la période de début, utiliser des photo- 
graphies existantes, qui n’avaient pas été prises à dessein pour des études fores- 
tières. Nous nous efforçons maintenant de définir le genre de photographies 
qui convient le mieux à ces études. 
Pour nous assurer les meilleurs photographies possibles, nous devons, com- 
me l'indique le Dr McDonald, commencer par étudier l'avion et ensuite, suc- 
cessivement, les différents éléments: le montage de la chambre, le chambre elle: 
méme, en allant, le cas échéant, jusqu'à l'interprétateur. Chacune de ces étapes 
successives doit être étudiée à fond, si l’on veut obtenir les meilleurs résultats. 
Ce qu’on a fait en réalité dans le passé, ce fut d’utiliser d’abord les photo- 
graphies dont on pouvait disposer. À mesure que la photographie aérienne ap- 
parut plus intéressante aux propriétaires de forêts et aux techniciens chargés des 
inventaires, le sylviculteur put devenir plus difficile dans son choix. Dans cer- 
taines limites de prix de revient, on put choisir les échelles et les combinaisons 
film-filtre. Ce choix se fit par la comparaison à simple vue de clichés-échantil- 
lons, ou même à priori au jugé. L’ingénieur forestier est convaincu qu’il peut 
obtenir beaucoup plus de renseignements encore, s’il peut employer des photo- 
graphies de qualité optimum. Pour atteindre cette qualité optimum, il nous 
faut un dispositif de mesure plus sensible qu'une évaluation au jugé ou une com- 
paraison à vue directe. Nous constatons qu'il est presque nécessaire d'avoir re- 
cours à des essais statistiques. Ce domaine particulier de l'étude statistique, qui 
est le plus souvent d'un emploi avantageux, c'est l'étude des variations d'aspect. 
Les méthodes d'études des variations d'aspect permettent de définir simul- 
tanément un certain nombre de facteurs tels que l'échelle, la combinaison film- 
filtre, la nature du papier photographique: brillant ou demi-brillant, et d'autres 
facteurs encore. On a essayé plusieurs méthodes de ce genre, mais en se fixant 
des objectifs différents. Les résultats n'ont guére été encourageants. Nous sug- 
gérons que, au lieu d'essayer de définir simultanément plusieurs facteurs. du 
probléme, on adopte une conception plus simple, plus souple pour sa mise en 
application, et trés certainement moins onéreuse. Si l'on obtient des solutions 
à ces problémes particuliers pris un par un, et si l'on base sur ces solutions l'ex- 
périmentation à venir, on aura la possibilité d'explorer toute la question. Cela 
ne veut pas dire qu'il ne faut pas étudier plusieurs facteurs à la fois, mais bien 
plutót que, au début de l'expérimentation, on doit s'en tenir à une conception 
aussi simple que possible. 
Lorsqu'on aura rassemblé toute une documentation concernant le choix 
optimum de l'échelle, de la combinaison film-filtre, de l'époque de l'année, de 
l'avion, du montage de la chambre, du type de chambre, etc..... on peut es- 
pérer que cette documentation aboutira à définir un facteur quantitatif com- 
mun, tel que la finesse du cliché. Si c’est là une chose possible, il est raisonnable 
de supposer qu’en inscrivant les conditions pour une phase déterminée des opé- 
rations, on pourra fixer les éléments conduisant aux résultats optimum. 
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
   
  
   
  
   
  
  
  
  
  
  
   
  
  
   
   
   
   
  
  
   
  
  
  
  
   
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