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(625) 
et coordonnés et un projecteur-repère qui envoie sur l’écran un petit point bril- 
lant. Le projecteur-repère est monté sur rotule, qui permet le déplacement du 
point sur toute la surface de l’écran. 
Les projecteurs-images sont munis de polarisateurs et les spectateurs de 
lunettes-polarisatrices, de façon que chaque oeil ne voit qu'une de deux images 
conjuguées, mais le projecteur-repère n’est pas polarisé et par conséquent les 
deux yeux voient le point. 
La position du point est évidemment définie en profondeur par l’écran, 
tandis que l’image plastique peut se trouver située devant, sur, ou derrière 
l’écran, selon le réglage latéral des deux images conjuguées. Sa position en pro- 
fondeur peut être changée en déplaçant les deux images conjuguées, latéralement 
et en direction opposée. Si l’on déplace l’image droite vers la gauche et l’image 
gauche vers la droite, l'image plastique est avancée et vice versa. L'observateur 
cependant perçoit seulement le mouvement relatif en profondeur de l'image 
plastique par rapport au point et a tendance à attribuer le mouvement en toute 
direction à ce dernier, et a ainsi l'impression d'un index-repére absolument 
mobile. 
Des systémes de réglage supplémentaire pour la rotation et le déplacement 
vertical de chaque image sont prévus à fin de réduire ou d’éliminer la parallaxe 
verticale. 
On peut démontrer la mesure des parallaxes en gravant ou en collant sur 
les plaques une fine graduation et une ligne repère respectivement sûr l’une et 
l’autre image, et en lisant la différence de déplacement quand l’index-repère 
mobile coïncide avec les points désirés dans l’image plastique. 
La représentation physique des courbes de niveau peut être démontrée et la 
parallaxe verticale devient apparente quand l’index-repère mobile dédouble sur 
l’ordonnée. 
Une brève démonstration suggèrera d’autres applications de la technique 
ci-dessus expliquée. 
Aperçu De Démonstration. 
On a l’intention de démontrer l’emploi du système avec quelques exemples 
tirés d’un cours de photogrammétrie. 
1. Stéréoscopie. 
Reconnaissance de profondeur sur une seule image d’un sujet commun. 
Photographie stéréoscopique et projection. 
Perception de profondeur dans l’image stéréoscopique conjuguée. 
Excercices de convergence et d’accomodation. 
Base-rapport de distance, champ de fusion. 
Mesures de parallaxe. 
Parallaxe verticale. 
Autres objets et idées qui sont mieux décrites par la projection stéréoscopique 
aidée d’un index-repère mobile. 
Bose 
  
  
  
  
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