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minés du terrain. Parfois il serait judicieux d’employer des surfaces-échantillons
longues et étroites, en particulier lorsque le bois est de densité uniforme.
On restitue alors au Stéréocartographe les feuillages des arbres contenus
dans cette surface et on mesure leur hauteur. On continue le travail en mesu-
rant le diamètre des feuillages (c.à.d. la surface couverte par chaque arbre), et
en mettant ensemble les arbres de même hauteur, de façon à établir le rapport
entre la surface et la hauteur qui donnera le coefficient de réduction F» et le
volume de la surface-échantillon. Le volume total de toute la zone considérée
s’obtient donc par une formule simple dans laquelle le volume de bois de la
surface-échantillon est multiplié par le rapport entre la surface totale et cette
surface-échantillon.
Après vérification par des mesures directes, nous avons trouvé les erreurs
suivantes:
+ 0. m 25 en altitude
+ 5 à 8% dans les valeurs dendrométriques par rapport aux résultats
des méthodes classiques.
Afin de faciliter les recherches statistiques concernant les rapports entre
les éléments caractéristiques des arbres, de façon à éliminer au maximum les
mesures au sol, nous pensons qu’il serait utile de prendre quelques clichés in-
clinés dans des espaces dégagés où les arbres apparaissent individuellement du
haut en bas, de façon qu’on puisse en étudier les dimensions par restitution
stéréoscopique.
Nous espérons que cette première expérience systématique sera suivie de
recherches étendues et durables, de façon que les entreprises intéressées à ce
genre de travail puissent élaborer les appareils les mieux appropriés et entraîner
leurs techniciens de la façon qui convient le mieux.
Le prix des travaux par unité de surface, déjà réduit par rapport aux prix
antérieurs, s’abaissera encore.
LA PRECISION THEORIQUE DANS LA DETERMINATION
PHOTOGRAMMETRIQUE DES TRAJECTOIRES D’OBUS ET
DES BOMBES AVEC LES METHODES CLASSIQUES.
par le
Commandant Luigi Ronca.
En 1952, l'O.M.I. Nistri (Ottico Mecanica Italiana) a mis au point un nou-
veau modèle de son matériel de stéréophotogrammétrie classique, constitué d'un
stéréocomparateur modéle B et de photothéodolites modéle B. Il faut recher-
cher la naissance des modéles A correspondants jusqu'aux années précédant la
seconde guerre mondiale.
L'auteur décrit les caractéristiques des nouveaux appareils O.M.L, et rap-
pelle les résultats bien connus obtenus dans la mesure des parallaxes par la
méthode stéréoscopique de Pulfrich; il expose le principe de base original dont
s'insprie le type de stéréocomparateur en question. Il considére cette conception
comme une généralisation aux deux coordonnées planes du comparateur liné-
aire d Abbe.
Il insiste ensuite sur le type particulier de ces photothéodolites, à champs
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