Full text: Proceedings of the Congress (Part 1)

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It is felt that giving only the mean curve for the lens distortion is not suf 
ficient and that at least the results for all four half diagonals should be given. 
Better still, since the actual laboratory results, whether the calibration is visual 
or photographic, will be distances across the focal plane and angles from the 
entry pupil, the actual laboratory figures, corrected for instrument errors, 
should be given on the calibration report, related to the geometrical centre of 
the format and the point of autocollimation. 
The operator can then compute these figures to provide the exact information 
he requires in the operation of any particular plotting machine. 
With the results of geometric calibration presented in this way, there should 
be little doubt in anyone’s mind as to the meaning or validity of the figures 
given. 
Unfortunately the same cannot be said, at the moment, about the figures for 
resolving power, but it is hoped that we shall have a clearer understanding of 
this particular problem after the rest of this discussion. 
Mr. G. B. Attwell souligne que la détermination des caractéristiques géométriques d’une chambre 
doit être faite dans le sens qui intéresse le photogrammètre utilisateur de cette chambre. En 
Grande-Bretagne, cette question est vue sous deux aspects différents: 1) celle d’un contrôle complet 
qui renseigne sur les caractéristiques d’un type de chambre et sur les écarts que peuvent présenter 
les chambres de ce type par rapport à la chambre »standard»; la présentation des résultats doit 
être faite sous une forme qui permette la comparaison des caractéristiques de deux chambres de 
modèle différent, contrôlées par le même laboratoire ou par deux laboratoires différents; 2) celle 
d’un contrôle courant effectué en vue de l’utilisation d’une chambre avec un appareil de restitution 
déterminé. Mr. Attwell demande que l’on mesure la distorsion au moins sur les quatre demi- 
diagonales. Il regrette que l’on y voit moins clair dans le problème du pouvoir résolvant. 
G. Parenti Dr. G. Parenti: Ce que je voulais dire a déjà été dit par le Professeur Howlett; il 
s’agit de la différence que nous constatons entre la mesure de la distorsion avec le 
système optique visuel ou avec le système photographique. A mon avis il n’y a pas 
de doute qu’il est nécessaire d’adopter le système photographique comme étant le 
plus voisin de la réalité pour ce qui concerne ce que doit connaître l’utilisateur 
de la chambre. Je voudrais seulement ajouter que la difficulté que nous avons 
trouvée dans tous les essais de laboratoire que nous avons faits pour réaliser 
cette différence entre le système photographique et le système optique, vient 
de la question de la planéité des plaques. Malheureusement on avait projeté de 
faire connaître quelque chose sur la question de la planéité, mais M. Cruset nous 
a dit que la communication ne serait pas donnée. En tous cas, je voudrais dire 
cela, que nous avons beaucoup de difficultés pour avoir des plaques qui soient 
vraiment planes. Or les différences que nous trouvons entre la détermination 
photographique et la détermination optique de la distorsion sont parfois du 
même ordre que la différence que nous donnent la planéité ou la non-planéité 
des plaques. Et alors il arrive que nous examinons plusieurs fois l’objectif d’une 
chambre sans rien modifier de l’objectif de la chambre, et que nous avons des 
résultats qui sont différents entre deux, trois, quatre plaques bien que les plaques 
soient données par le fabricant comme planes avec une certaine approximation. 
Mais, puisque nous sommes arrivés maintenant pour les déterminations à une 
précision qui est de l’ordre d’un centième de millimètre, eh bien, je vous avoue 
que nous avons des difficultés pour avoir des plaques qui aient cette même pré 
cision. Si elles ne l’ont pas, les déterminations peuvent devenir illusoires. 
Dr. G. Parenti comments on the difference between results obtained when carrying out calibra 
tion by the visual method, or by the photographic method. The last one is considered nearer to 
actual facts, as far as one considers the kind of information of interest to the user of cameras. 
A great difficulty in laboratory experiments is due to the fact that plates are never perfectly flat. 
It often happens that the difference observed, between photographic determination and optic 
determination of distortion is of the same order as the difference between flatness and non 
flatness of plates. 
F. L. Corten Mr. F. L. Corten: The proposal for standardization of lens testing methods has 
been in operation now for four years. If we have to give it a testimonial, then it is 
our opinion that we can say that although it is not a strict specification, and al-
	        
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