Full text: Proceedings of the Congress (Part 1)

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Discussion 
Le Président ouvre la discussion sur l’ensemble de ces deux communications. 
P. L. Baetslé: 
L’exagération apparente 
du relief. 
(Pubi. IBI) 
Mr. R. W. Fish: Can Dr. Parenti give me some information on his gyroscope 
and aircraft? Can he describe the form of vertical datum, is it a pendulum, a 
bubble or some other form? Also what is the wander rote of his gyroscope? I 
would also like to know the type of aircraft used in the tests, its speed, 
height etc. 
Dr. G. Parenti: 1. Quel avion a été utilisé pour les essais? Il n’est pas possible 
de répondre: les essais dont il est question ont été réalisés en laboratoire. 2. 
Vitesse de rotation du gyroscope? 6 000 tours/minute. Des essais comparatifs 
exécutés préalablement ont démontré qu’il est bien mieux d’employer (pour ce 
but) des gyroscopes de vitesse relativement petite et de grande masse: on obtient 
une stabilité meilleure. 3. La verticalité de l’axe gyroscopique (ou mieux son 
parallélisme avec la direction du champ de gravitation) est obtenue par un 
effet pendulaire, tandis que l’érection, c’est-à-dire la correction des précessions, 
est obtenue par un système de billes automatiquement déplacées dans la direc 
tion normale à celle de la perturbation provoquée par la précession. 
Answering a few questions from Mr. R. W. Fish for further information, Dr. O. Parenti says 
that the tests described were carried out in the laboratory. No aircraft used. Speed of gyroscope: 
6 000 turns/minute. Comparative tests have shown that a better stability is obtained with a 
gyroscope of relatively low speed and large mass. Parallelism of the gyroscope’s axis with the 
direction of the field of gravitation is obtained by a pendulum effect. Erection is obtained by a 
system of balls moving automatically in the direction of the perturbation caused by precession. 
Les deux communications ci-après par Prof. P. L. Baetslé et Dr. P. O. Fager- 
holm sont alors présentées: 
P. L. Baetslé: L’exagération apparente du relief dans l’observation 
des stéréogrammes. 
L’exagération (ou l’atténuation) du relief qu’on constate dans l'observation de 
stéréogrammes ne peut s’expliquer quantitativement qu’en faisant appel à la 
physiologie. Bien que l’auteur ait consulté, dans la littérature ophtalmologique, 
de nombreux articles traitant de la vision binoculaire, il n’en a pas trouvé qui 
puissent s’adapter directement au cas des stéréogrammes photogrammétriques. 
Le problème ne pourra cependant être complètement résolu que par la colla 
boration des physiologistes et des photogrammètres. En attendant, l’auteur a 
essayé d’appliquer à la photogrammétrie les résultats obtenus par C. O. Roelofs 
et W. P. C. Zeeman (1), concernant la dimension apparente des objets. 
Puisque le facteur d’exagération est défini univoquement par les seules circon 
stances géométriques de l’observation, on doit admettre l’existence d’une relation 
fonctionnelle entre la convergence géométrique et la »convergence physio 
logique». Si on appelle c et y respectivement les tangentes des angles de 
convergence géométrique et physiologique, B la base de prise de vues, H la 
distance du point considéré à cette base, on trouve pour le facteur d’exagéra 
tion E, 
f ;L " ■ 
On exprime que la fonction y de c satisfait à des conditions suggérées par les 
conclusions de l’article cité ci-dessus. On peut développer cette fonction en 
série de diverses façons; la plus simple conduit à la formule 
B_ A-d 
H d + A • (b — s) 
(2) 
où E, B, H ont les significations définies plus haut, b est la base oculaire, d la 
distance des clichés à cette base, s la distance entre les points homologues
	        
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