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dependent on the factor »parallaxes elimination» and depend, therefore,
mainly on the type of survey (focal length, flying height, triangulation instru
ment, observer etc.). According to the solar triangulation procedure, in the
definitive instrumental connection each new photograph is introduced with a
very approximate K and the corresponding values of co, cp computed taking into
account the geometrical relations proper to the solar method. Those values of K
can still have, during this phase, some variations in order to eliminate completely
the parallaxes in each model.
It is at this last final phase that Roelofs’ method can be utilized.
Owing to the fact that the K introduced into the final connection is a K
already connected, the above mentioned correlations of a geometric nature do
not find any more occasion to be applied whereas the correlations connected
with the parallaxes observations can still furnish a useful contribution. And as
the definitive connection has the actual properties of the connections using the
base-component bz for the formation of models, the planned extension of
Roelofs’ method to the solar triangulation mainly consists of an application to
the triangulation carried out by means of the bz component.
The application is then examined in detail: definition of the weight and
correlation numbers, condition equations, adjustment of the two groups into
which the corrections can be separated. Also for the solar triangulation the rela
tions giving the corrections to the coordinates of the x-transfer point are ex
pressions of third order.
Compensation d’une triangulation solaire avec la méthode Roelofs
L’application au cas particulier de la triangulation solaire de la méthode Roelofs de compensation
est étudiée sous deux points de vue.
Premièrement l’on constate que la condition de la nature accidentelle des erreurs, condition posée
implicitement par toute méthode basée sur la théorie des moindres carrés, est satisfaite par la
triangulation solaire dont les qualités les plus caractéristiques sont précisément l’indépendence
des modèles et la non transmissibilité des erreurs.
Au point de vue du rôle joué par les corrélations entre les »quasi-observations» — corrélations
qui représentent l’elément déterminant de la méthode Roelofs — on sépare les corrélations propres
de la méthode solaire, c’est à dire celles entre le lever K et les inclinaisons œ, qp dans chaque
modèle, et qui dépendent de l’essence géométrique de la méthode solaire, des corrélations utilisées
par Roelofs lesquelles sont liées à l’élément: élimination des parallaxes, et par conséquent sont
en rélation avec les caractéristiques particulières de la bande. Les premières sont utilisées par la
méthode solaire dans le cours même de l’enchaînement et se traduisent directement en corrections
instrumentales; lorsqu’elles ont épuisé leur rôle au moment de la formation finale des modèles, dans
lequel on fait recours à l’élimination des parallaxes par des mouvements de by, bz et par de
petites variations résiduelles de K, a), qp, à ce moment-ci on peut introduire l’utilisation de la
méthode Roelofs, sant doute très utile aux buts de la compensation.
En vue de la substantielle identité entre la conduite des opérations suivie par la triangulation
solaire dans cette phase finale et celle employée par les triangulations qui utilisent la composante
bz pour la formation des modèles, c’est à cette dernière forme d’enchaînement que la sousdite
envisagée extension de la méthode Roelofs est appliquée. —
L’application est étudiée dans tous ces details analytiques et la conclusion est que les relations
qui donnent les corrections aux coordonnées des points des modèles, sont relations du troisième
ordre.
17. Bartorelli: Nadiral
Point Gyroscopic Aerial
Triangulation according
to the Nistri Method.
(Publ. IIIB3)
La discussion est reportée après la communication suivante qui traite un sujet
de même nature.
M. TJ. Bartorelli (Italie) présente: »Nadiral Point Gyroscopic Aerial
Triangulation according to the Nistri Method». Résumé:
The author assumes that the Nistri method for the gyroscopic recording of
the nadir point of each aerial photogram that utilizes the indications of the
primary axles of the two gyroscopes provided with erectors is known, and he
expounds the method of utilizing the knowledge of that point in spatial aero-
triangulation.
He takes into consideration the use of plotters, spatial aerotriangulators,
whether of normal type or of a type particularly endowed for this purpose with