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of subjects in space can be determined. Distances may vary from millimicrons
to miles and kilometers.
The High Speed Photography Committee of the Society of Motion Picture
and Television Engineers was organized in January, 1948. In the minutes of
the first meeting the requirements for good measurements were stressed. If
Society correspondence were examined, it would be found that the term,
»photogrammetry» had to be »sold» to the Society. This is examplified by the
Symposium on data reducing equipment, presented at the Society’s fall meeting
in 1955.
There have been two great differences of approach to the nomenclature pro
ject: Whether the glossary should be extremely scientific; or whether it should
be less scientific and more easily understood and translated. It is hoped that
this glossary will be ready for presentation at the Third International Congress
on High Speed Photography, which is to be held in London, September, 1956.
A growing interest in the field of metrical photography is indicated by the
fact that Muybridge’s classical pictures, taken in the 1880’s, are being reprinted,
»The Human Figure in Motion» (1956) and »Animal Locomotion» (June, 1956)
by Dover Publications, New York.
Any photograph when used for measurement, qualitatively and quantitatively,
is a part of the science of photogrammetry.
La photogrammétrie et la photographie du mouvement
Le but du présent mémoire est d’appuyer sur la nécessité d’élargir le concepte de la photogram
métrie et lui faire inclure les champs de la photographie ultrarapide et de la photographie au ralenti.
Une discussion suit sur les définitions d’usage. Les buts du Comité de Photographie Ultrarapide
de la Société des Ingénieurs — Cinéma et Télévision sont passés en revue, ainsi que l’éducation
qui fut nécessaire à l’acceptation, de la part du Comité, du concept »photogrammétrie».
Deux points de départ differénts vers l’établissement d’une terminologie sont mentionnés.
Assertation est faite de la nécessité de considérer la mesure d’éléments quantitatifs aussi bien
que qualitatifs comme faisant partie de la science photogrammétrique.
La communication »Relevés photogrammétriques de monuments histo
riques» de AIM. F. Cattelain et P. Vermeir, France, est ensuite présentés par
AI. Vermeir. Résumé:
Depuis deux ans, le relevé photogrammétrique des monuments historiques a
été entrepris d’une façon systématique en Belgique. Le pays réalise ainsi le
voeu exprimé en 1934 à ce sujet par Dolezal au IVe Congrès de Photogram
métrie à Paris. Cette entreprise est patronée par le Corps de Sécurité Civile,
qui a dans ses attributions la préservation du patrimoine artistique du pays.
L’exécution technique a été confié au Service de Topographie et de Photo
grammétrie du Ministère des Travaux Publics, qui à son tour fait appel aux
conseils de spécialistes dans le domaine de l’archéologie et de l’histoire de l’art
et de la Commission Royale des Monuments et des Sites.
Le but poursuivi n’est pas d’établir tout de suite les plans de monuments
existants, mais de réunir les documents photographiques avec les éléments
métriques indispensables et de constituer de cette façon une documentation
contenant les plans »en potence».
Le matériel de restitution, appareils de restitution de 1er ordre du type univer
sel, sera toujours disponible; il est parfaitement adapté aux besoins de la photo
grammétrie architecturale. Il n’en est pas de même en ce qui concerne l’appa
reillage de prise de vue. De ce fait, un appareillage spécialement adapté à la
tâche entreprise a été mis au point et réalisé par l’Officine Galiléo de Florence
sous le contrôle technique de AI. E. Santoni.
Cet appareillage se compose de deux chambres métriques, adaptables sur un
théodolite. De cette façon, on peut les utiliser comme deux photothéodolites
indépendants. D’autre part, il est prévu des bases fixes de 2 m et de 3 m sur
lesquelles les chambres peuvent être fixées; comme tel elles peuvent être utilisées
F. Cattelain—P. Vermeir:
Relevés photogrammé
triques de monuments
historiques.
(Publ. Y CV 1)