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divergence entre les buts des essais contrôlés de la SIP et les activités communes de recherches
exécutées par l’OEEPE, il est décidé de soumettre à l’approbation de l’Assemblée Générale une
motion rédigée, sur proposition du Docteur Harry, comme suit: Quand des travaux expérimentaux
ou études sont entrepris entre les congrès sous l’égide d’une commission technique, la commission
technique qui commence ou qui exécute ces travaux peut prier l’Administration de nommer un
comité pour coordonner et faciliter le projet, et trouvera qu’il y a surtout lieu de faire ainsi quand
le projet concerne plus d’une commission.
Point 17. Motion No. 7/1956.
Il est tout d’abord expliqué que cette motion ne concerne que la procédure à suivre lors de la
présentation de motions de caractère administratif — les motions techniques, dont l’un des objets
est d’exercer une influence sur les résolutions des commissions, ne peuvent naturellement pas être
soumises avant le congrès dans la plupart des cas. Après une discussion on se met d’accord que
les conditions b et c doivent être alternatives. La forme définitive de la proposition est donnée
dans le rapport de la Séance de Clôture de l’Assemblée Générale (voir p. 88).
Point 19. Motion No. 8/1956
Le Secrétaire-Général informe les délégués que très peu de réponses ont été reçues aux lettres
sollicitant un vote postal, envoyées aux sociétés membres au cours de la période de quatre ans.
Après une légère modification, montrée à la page 88 la motion est adoptée.
Point 20. Motion No. 9/1956.
Le Secrétaire-Général présente la motion relative à la révision des statuts, expliquant que la
structure et la portée des travaux de la SIP a beaucoup changé depuis la rédaction des statuts.
L’Administration avait trouvé des difficultés considérables à suivre les statuts pendant la période
écoulée de quatre ans.
Au cours de la discussion il est suggéré par un délégué suisse que les statuts pourraient être
divisés en deux sections, l’une se référant a la constitution et l’autre au règlement intérieur. La
motion est adoptée mais l’élection d’un comité est remise jusqu’à ce qu’une décision soit donnée sur
le point 9 (concernant le pays organisateur du prochain congrès).
Point 9. Quel pays sera chargé de l’organisation du prochain congrès? (Reporté de la réunion
précédente.)
La délégation belge, se ralliant à l’opinion qu’une décision doit être faite au cours de la
réunion présente, annonce que la Belgique se retire en faveur de la Grande Bretagne. En même
temps, la délégation belge déclare que la Belgique désire organiser le Congrès de 1964 en Belgique
ou à Léopoldville dans le Congo Belge.
Brigadier Dowson remercie la délégation belge de leur courtoisie.
Le Président exprime ses remerciements chaleureux pour l’invitation britannique, déclarant que
ce sera un grand plaisir aux membres de la SIP de venir à Londres en 1960. Il remercie également
la délégation belge de leur aimable invitation et annonce que cette invitation sera inclue dans le
rapport de la réunion, aussi bien que le voeu exprimé par la délégation allemande d’organiser un
congrès ultérieur.
Au nom des deux société britanniques, Brigadier Dowson présente les propositions suivantes:
comme Président de la SIP, le général R. Ll. Brown
comme Secrétaire-Général, le colonel R. Rogers
comme Trésorier, M. J. E. Odle.
Le Président Mogensen déclare que cette administration sera extrêmement compétente, et la
proposition est acceptée avec applaudissements chaleureux.
Le général Brown dit que ce sera un grand plaisir pour les sociétés britanniques d’accueillir la
SIP à Londres en quatre ans: la délégation britannique se rend bien compte de l’importance de la
tâche qui lui incombre et fera de son mieux pour s’en acquitter d’une manière satisfaisante.
Point 20. (Reporté.)
Les deux autres membres du comité des statuts peuvent maintenant être nommés. Mssrs. Reading
et Fagerholm sont élus à l’unanimité.
Point 15. Motion No. 4/1956.
Le professeur Schermerhorn, parlant en sa qualité de chef de l’ITC de Délit, dit que l’ITC,
sans doute comme d’autres instituts, a commencé à projeter une bibliographie. Dans une discussion
avec la présidence de la Commission VI on a décidé qu’il serait utile de coordonner cette biblio
graphie avec celle de la SIP. Les sociétés et instituts désirant collaborer recevraient en revanche
des copies des cartes bibliographiques, et pour les autres intéressés un système d’abonnements
était prévu. Le besoin d’une assistance de la part des sociétés, par l’intermédiaire de la SIP, se
faisait sentir dans le but de couvrir, non seulement les publications habituelles mais aussi les
différents journaux techniques, par exemple ceux des Etats Unis.
Au cours de la discussion le Dr. Harry fait remarquer qu’une commission ne peut se faire
responsable d’une bibliographie: il faut nommer un organisme ou une institution. La Commission