.Yougoslavie 2"
terrain on fait les prises de vue avec la chambre normale ou grande-
angulaire.
2. Le canévas pour la restitution aux échelles moyennes s’apuie sur les
points trigonométriques déjà donnés. Toujours, avant la mission aérienne,
ces points sont signalés avec des signes blanc (la forme en croix à l’âchelle
correspondante). Les échelles des photographies varient de 1 :23 000
à 1 : 30 000, ce qui dépend du format des clichés et de la densité des points
trigonométriques donnés. Ces points 5—8 pour chaque stéréomodèle sont
détérminés par les méthodes classiques ce qui garantie une orientation
parfaite.
Pour les plans à grand’ échelle on fait les prises de vue aux échelles
de 1 : 10 000 à 1 : 15 000. La restitution s’appuie aux points trigonomé
triques choisis et signalés avant la mission et déterminés en 3 coordonnés
par voie trigonométrique. A cause de la densité suffisante des points tri
gonométrique, l’aérotriangulation n’était pas encore appliqué.
3. La transformation des photographies aux cartes et plans se fait uni
quement par des instruments de réstitution du premier et du deuxième
ordre, ou sur le redresseur automatique.
Pour l’orientation des stéréogrammes, soit pour les couples isolés soit
pour le cheminement, tou jour, quand il est possible, on emploie la mé
thode de von. Gruber, en, cas échéant on applique les méthodes d’orientation
de Pouavilliers, Helmert et quelque fois la méthode de Braum, s’il s’agit
du terrain trop accidenté.
Les minutes se préparent sur astralon — matière spéciale sans défor
mation — pour faciliter le tirage des plans.
Pour les plans redressés on pratique la projection directe des plusi
eurs clichés sur une minute Agfa-corectostat préparée d’avance. La pré
cision obtenue est de + 0,22 mm à l’échelle du plan, le rapport entre
l’échelle du plan et celle du cliché est 4:1.
4. Les travaux de contrôle.
La vérification des plans obtenue par la voie photogrammétrique se
fait par des profiles mésurés sur le terrain par des méthodes classiques, ou
par une comparaison avec un plan obtenu par tahéomètrie. Les détails sont
publiés dans la Revue géodesique Yougoslave — „Geodetski list“ № 1—2
1954, page 19—27 sous titre: Le mensuration de contrôle et le comparaison
des plans photogrammétriques.
5. A l’Institut photogrammétrique à Beograde des essais et des recher
ches sur l’aérotriangulation n’étaient pas éxecutés actuellement, que des ban
des courtes, jusqu’à 8 km. environ. Par causéquent les résultats ne sont
pas suffisants, en ce qui concerne la précision demandée.
Les essais pour trouver l’échelle des prises de vue la plus économique
et les recherches sur la choix des instruments de réstitution pour les plans
cadastraux à grand échelle 1 : 2500 sont en marche. Un terrain d’une sur
face de 400 ha environ au près de Belgrade a été survolé à 4 altitudes dif
férents, les piises de vue ont été fait sur plaque et sur film aux échelles
diverses par des chambres normales et grad’angulaires.
, , Avant la mission les 2600 points des limites et points géodésiques ont
été signalé avec des signes blancs de la dimension et forme diverse Tous
ces point on été déterminés en planimétrie et en altitude par deux mé
thodes indépendantes, une fois par le levèr des apscisses et des ordonnées
et nivellement horisontale et le deuxième fois par tachéomètrie précise
Les résultats definitifs de rechrches seront publiés à temps. Sur quelques
travaux finis, ayant été référé à la réunion des photogrammétres à Split
au mars d octobre 1955. Ces résultats sont publiés à „Geodetski list“ N« il