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— Objectif Topar F/4, F = 21 cm, à traitement de surface, équipé de l’un ou l’autre
des filtres Zeiss B ou D ;
— Obturateur à lamelles rotatives entre les lentilles ;
— Intervalle minimum entre prises de vues successives : 2 secondes ;
— Enregistrements auxiliaires : heure, niveau, statoscope, compteur des prises de
vues, distance principale ; ces enregistrements sont disposés le long d’une étroite bande,
placée à côté de la vue à laquelle ils se rapportent ;
— Poids : 86 kg, film compris ;
— Dimensions extérieures : 48 x 45 x 54 cm 3 .
Les contrôles des chambres sont faits en usine par le constructeur.
Les chambres utilisées en Belgique ou au Congo belge, Poivilliers-S.O.M. à
plaques et à film, R.C.5 et R.C.7 Wild, Willianson F = 6”, Fairchild F = 6”, ont été
décrites dans de précédents rapports.
Les contrôles sont faits par les constructeurs ; cependant, l’Institut géographique
militaire assure lui-même la mesure de la distorsion des objectifs au moyen du photo
goniomètre Poivilliers-S.O.M. (rapport de 1948, page 25), conjointement avec la déter
mination de la distance principale et du point principal. Un équipement de photogram-
métrie destiné à la prise de vues de monuments a été construit par l’Officine Galileo de
Florence et est utilisé en Belgique. Il se compose de deux chambres métriques (Aerogon
F = 150 mm, 13 x 18, tirage réglable par échelons de 0,4 mm) qui peuvent être, soit
placées sur un théodolite, soit fixées aux extrémités d’une base semi-rigide de 2 ou 3 m
de longueur.
Les chambres à films Willianson, Wild et Fairchild, utilisées au Canada sont bien
connues et ont été décrites dans de précédents rapports.
La Colombie britannique fait des déterminations de visées zénithales au moyen
d’un photothéodolite équipé d’un objectif Wollensack (F = 12,5 cm, 77 x 77 mm,
film Kodak en rouleau) se montant sur le trépied des T.2 Wild.
Les contrôles sont toujours exécutés par les laboratoires du Conseil national de la
Recherche à Ottawa, qui utilisent depuis le 1 er janvier 1955, comme méthodes réglemen
taires, celles qui ont été adoptées à Washington, au VII e Congrès international.
Les contrôles de netteté ne sont faits que sur les chambres-types à moins que le
propriétaire d’une chambre particulière n’en demande l’examen. La distorsion est mesurée
photographiquement sur des glaces émulsionnées de 6 mm d’épaisseur, dont la planéité
est assurée à i 0,001 mm pendant l’exposition, grâce à un dispositif à dépression comp
tant 25 orifices dont la position est réglée au moyen de vis micrométriques. La planéité
de la face émulsionnée est vérifiée au moyen d’un interféromètre opérant dans l’infra
rouge.
Les mesures de la distorsion tangentielle et de la lumière parasite n’ont pas été
encore introduites dans les essais courants.
L’éclairement de l’image est mesuré par une méthode photoélectrique. Elle a été
comparée à la méthode photographique.
Un contrôle des qualités géométriques des filtres et de leur homogénéité a été mis
au point.
La chambre Willianson Eagle IX Mark II utilisée par les Danois au Groenland a
été décrite dans le rapport de 1952 (page 12). Elle est équipée d’un filtre « moins bleu »
pour les prises de vues faites au-dessus de 6.000 m. Il n’est pas utilisé de filtre pour
les missions exécutées à moins de 4.000 m. Les contrôles sont exécutés par le construc
teur.
Les chambres utilisées aux États-Unis ont été décrites dans le précédent rapport
(pages 19 et 20), à l’exception des chambres Fairchild T-12, CA-16, KA-8, KA-2 et