3. 2
3. 2.1.1
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3.2.1.2
4
3.3.2
3. 2.12;
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son. La seule végetation subsistante était donc celle représentée par les
rangées d'arbres plantées le long des fossés et des routes.
Réseau d'appui des stéréogrammes.
Cagliari - Les opérations à terre se sont déroulées, en plusieurs phases,
d'avril 1953 à janvier 1954, dans des conditions atmosphériques généra-
lement satisfaisantes. Du fait de la rareté de la végétation et des bonnes
conditions de viabilité, la zone ne présentait pas des difficultés particu-
lières.
Pavie - Les opérations à terre se sont déroulées, pendant l’été 1954, dans
de bonnes conditions atmosphériques. Les conditions de viabilité de. la
zone étaient également satisfaisantes. La zone présentait par contre des
difficultés considérables au point de vue de la visibilité réciproque des
points, difficultés dues à la présence de rangées d’arbres de haute futaie
plantées le long des routes ou marquant les séparations entre propriétés
et cultures différentes.
Réseau planimétrique.
Cagliari - Etant donnée la disparition presque totale, par suite de la guer-
re principalement, des repères de la triangulation fondamentale de
l’Institut Géographique Militaire Italien, le réseau trigonométrique
d’appui a été obtenu d’une façon particulière.
L’on a évité le mesurage à terre d’une base, en s'appuyant sur trois
sommets du III ème ordre du réseau de l’I.G.M., restés intacts, situés
dans la partie 5 W de la zone à lever: Giorgina, Torre San Pancrazio, :
Castello di San Michele.
Le repére situé sur le Castello di San Michele étant devenu inaccéssible
par suite de l'écroulement de l'escalier d'aecés, l'on n'a pu effectuer
des stationnements que sur les deux premières.
Les coordonnées dont on disposait ont permis de calculer deux bases :
Giorgina - Torre San Pancrazio et Torre San Pancrazio - Castello di
San Michele.
Sur ces deux bases ont été rattachés des ordres successifs de chaînes de
triangles, se refermant sur elles-mêmes, dont les sommets constituaient
les points du réseau principal et du réseau secondaire.
Les contrôles - auxquels l’on a procédé grâce à des différentes détermi-
nations des côtés communs à deux triangles et des écarts entre les coor-
données obtenues pour un même sommet - ont fourni de très bons ré-
sultats, en nous garantissant ainsi le caractère homogène et correct de la
triangulation.