d’ensemble AK, A® et AQ ont été suffisants à compléter, aprés orientation
relative, l'orientation extérieure des couples nadiraux et obliques.
Comme d'habitude nous avons procédé à l'égalisation de grandeur par la
variation de la composante b x de la base et nous avons dû varier en conséquence
by et bz pour conserver à la base, à la fin de l'orientation extérieure, l'orien-
tation spatiale déterminée pendant l'orientation relative.
3.3.2 — L'orientation azimutale (A K), et la conservation de la coincidence
planimétrique de l'origine des coordonnées (A X, et A Y,) ont été imposées en
déplacant la minute de dessin. Le contróle de grandeur a été fait également en
imposant la coincidence entre les points d'appui (fig. 2-2), tracés sur la minute
à l'échelle 1 : 25 000, et la position correspondante du traceur.
Le programme de l'essai consentait un écart moyen planimétrique de — ro
mt (= + 0,2 mm à I : 50 000). Théoriquement, en opérant à une échelle double,
nonobstant l’ incertitude de la coïncidence « traceur-point graphique », nous au-
rions dà réaliser la reproduction des points d'appui avec une erreur égale à la
moitié de l'écart permis.
Une fois l'orientation terminée, nous avons lu les coordonnées instrumentales
des points d'appui aux échelles X et Y du « Stéréocartographe ». Nous avons dé-
terminé les valeurs des coéfficients de transformation en suivant le procédé normal,
basé sur la recherche des conditions les plus favorables, (moindres valeurs absolues
des écarts résiduels), par la comparaison des coordonnées instrumentales et des
coordonnées rectangulaires géographiques. Aprés transformation des coordonnées
instrumentales nous en avons calculé les écarts résiduels.
Toutes ces valeurs ont été communiquées aux directeurs de l'essai. Nous
donnons ici un résumé de ces communications (3.3.6).
Dans le calcul des écarts moyens pour » points d'appui nous avons consideré
l'influence des deux équations de condition en adoptant l'expression
m — x y[vv]/(n—2).
3.3.3 — Pour régler I’ horizon du modéle (inclinaisons A Q et A ®) et la
position altimétrique de l'origine (A Z,) nous avons utilisé les valeurs données
par le compteur d'altitude. Nous avons comparé directement ces valeur avec les
valeurs connues aux points d'appui, sans transformation ni compensation. Les
résultats des comparaisons ont été comuniqués aux directeurs de l'essai et sont
résumés dans le tableau (3.3.6).
Du fait que nous utilisons les valeurs des altitudes restituées sans compensa-
tion, le calcul des écarts moyens a été fait par la formule:
m -— -y[v v] /n .
Le Stéréocartographe Mod. IV, a comme premier axe basculaire des chambres
l'axe c ; la correction d' horizon A Q (autour de l'axe X) y est partant imposée
par les rotations indépendantes et égales d wo, — d «, des deux chambres. L'ap-