damment de la connaissance des valeurs angulaires des chambres, il suffit de dis- 
poser sur le sujet de quelques points de contrôle. 
Dans le cas des monuments historiques, cette chose n'est pas 
aisée ; elle est souvent impossible ; c'est la raison pour laquelle les chambres 
sont montées sur une base qui peut être soulevée du sol et manoeuvrée à distance. 
  
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Fig. 9 : Prise de vue du Palais des Princes-Eveques à Liège 
Dans le cas d'une oeuvre architecturale d'ailleurs, il y a suffisamment d'éléments 
permettant de définir avec une approximation suffisante un plan vertical ou hori- 
zontal d'orientation angulaire absolue du modèle optique. C'est pour ces raisons 
d'ailleurs que les inclinaisons des axes de prises dans le plan vertical ne sont 
enregistrées qu'avec une modeste approximation. Mais le contróle absolu des dimen- 
sions du modèle pourrait devenir impossible dans le cas d'erreur de parallèles en 
des axes de prises. 
Pour éviter un recours trop fréquent aux contrôles et réglages 
et pour contrôler la stabilité mécanique de l'appareil, l'instrument comprend un 
dispositif optique à champ visuel réciproque pour les deux chambres qui enregistrent 
A - 
toute erreur éventuelle de convergence et qui peuvent ipso facto être prises en 
considération au moment de la restitution.