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6.1. 
9.1. 
Des développements importants résident dans la correction automatique par l'appareil de resti- 
tution de la courbure de la terre, de la réfraction et dans la diminution des erreurs systématiques 
dépendant de l'opérateur pour la restitution altimétrique. L'observation au moyen d'anaglyphes 
s’avère comme moins précise et plus lente que la restitution directe stéréoscopique. La mise au 
point de la marque repère dans la solution moderne avec lumière alternante (PG Kern) doit 
encore être examinée, de même que le degré d’importance de la nouveauté révolutionnaire que 
l’on est en droit d’attendre de l’automatisation de l’orientation relative, de la restitution de courbes 
de niveau et de profils (Stéréomat). Dans la cartographie également, les erreurs et imperfections 
doivent plutôt être recherchées dans la manipulation non réfléchie de méthodes et instruments 
que dans les instruments et le matériel. 
Recherches théoriques et pratiques sur des opérations fondamentales de la photogrammétrie 
en considérant les restitutions contrôlées IV/1 à IV/3 (A/C/TV/4) 
Avec le matériel résultant des mensurations expérimentales contrôlées de Revóira (IV/1), Wabern 
(IV/2) et Renfrew (IV/3), M. le professeur Hallert a exploité analytiquement et numériquement 
les mesures de coordonnées des grilles et de parallaxes verticales pour en déduire les erreurs théo- 
riques des restitutions et comparer celles-ci avec les erreurs vraies. Les résultats montrent que les 
mesures des parallaxes verticales résiduelles au modèle spatial orienté définitivement peuvent être 
exploitées pour déterminer la précision de la restitution et l'influence des erreurs systématiques. 
Les parallaxes en Y peuvent constituer l'élément déterminant quant à la fixation des tolérances 
manquant encore pour presque toutes les applications de la photogrammétrie. La discussion 
devrait mener à la normalisation des méthodes d'examens analytiques par une collaboration 
internationale. 
Vues convergentes ou verticales | (B.1/Colloque 1) 
Les communications et discussions n’amèneront guère un jugement définitif sur les avantages et 
inconvénients de l’une ou l’autre disposition des prises de vues, car les développements de théorie 
des erreurs et les mensurations expérimentales sont manifestement encore trop insuffisants. Mais 
il sera important de décider dans quelle direction les analyses théoriques et pratiques ultérieures 
doivent être entreprises, pour déterminer lequel des 2 procédés est approprié dans tel ou tel pro- 
blème pratique. 
Photogrammétrie graphique ou numérique (B. 1/Colloque 2) 
La photogrammétrie numérique n'en est qu'aux débuts d'une évolution qui s'annonce prometteuse 
et trés intéressante. L'état actuel qu'a atteint la technique profite à la mensuration cadastrale, 
au calcul des volumes des terres (par exemple à l'exploitation des mines à ciel ouvert), au planing 
et piquetage de voies de communications (autoroutes, chemins de fer, canaux). Parmi le grand 
nombre de communications sur de nouveaux instruments (stéréocomparateur, Stéréomat, Ortho- 
photoscope, dispositifs d'enregistrement et calculatrices automatiques) et procédés, l’on ne 
pourra discuter que les points de vues dominants et les tendances de développement qui entraîne- 
ront une amélioration quantitative et qualitative de la production de coordonnées, plans et cartes. 
Pour discuter la valeur des solutions, il sera important de juger dans quelle mesure l’homme 
exerçant une activité intellectuelle et devant prendre des décisions réussit à se libérer du travail 
routinier. Le langage des chiffres en photogrammétrie conduit à un automatisme qui dépasse la 
photogrammétrie pour rejoindre la technique des utilisateurs (dans le planing de constructions 
par exemple). La discussion sur la coordination et la collaboration de la programmation des calculs 
automatiques, de la photogrammétrie et des organes utilisateurs (cadastre, ingénieur civil) sera 
nécessaire et conduira à des solutions utiles. De plus, il faudra déterminer les limites que fixent 
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