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électronique, Au 1? janvier 1960 l'Institut Géographique National disposait
de 22 tireuses électroniques (20LogEtronic et 2 Cintel).
La tireuse Kel-0-Watt, ou les tireuses basées sur le méne principe n'
ont pu être expérimentées par l'Institut Géographique National qui ne peut
se prononcer sur leur intérét,
En Grande Bretagne , l'emploi des papiers imperméables s'est dévelop-
pé ainsi que celui des papiers constitués par un support film teinté en
blanc opaque et émulsionné, Le pouvoir résolvant de ces nouveaux papiers
est le même que celui des papiers ordinaires, Pour ces derniers la résis-
tance à l'eau a été augmentée,
Par contre, depuis l'apparition des tireuses électroniques, l'emploi
des papiers à gradation multiple ne s'est pas développé.
En Italie, les procédés de compensation automatique ne se sont pas
encore développés,
Au Japon , on exécute des diapositives, soit pour raisons de sécuri-
té, soit pour travailler aux appareils de restitution C-8 ; A-7, A-B et
Kelsh Plotter, Ces diapositives ont été à l'origine faites sur plaques mis,
par suite des défauts de planéité des plaques elles ont été faites surfilm
Photolith Ortho, de Keuffel et Esser, sur support Mylar. Depuis 1959, 1 a
firme Konishi Photographie Co a pu fournir des plaques convenables pour
diapositives, dont la planéité est inférieure à * 0,01 mm,
Les papiers photographiques armés par mince feuille d'aluminium sont
utilisés aux travaux sur Stéréotop.
D'une façon générale la compensation est faite par les procédés clas-
siques , tireuses à lampes multiples, ou masque. La tireuse Kel-0-Watt a été
essayée avec succès,
Au Liban, les travaux de restitution se font sur les négatifs origi-
naux dans le cas des plaques, et sur coniretypes plaques dans le cas des
films,
Aux Pays-Bas, les tireuses à compensation automatique ne sont encore
qu'à l'essai,
En Pologne , les travaux de restitution se font souvent sur plaques
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