siéme chambre'' automatique pour production d'orthophotographies à partir de profils enre-
gistrés sur bande magnétique. Elle étudie un dispositif de corrélation d'images.
b) un appareil de restitution à double projection, le photorestituteur 920, plus spéciale -
ment étudié pour être utilisé avec l'orthophotographe 693, mais qui peut aussi faire de la res-
titution graphique, et notamment en lumière blanche avec le Stéréoimage Alternateur fabriqué
depuis 1968, Cet appareil peut restituer des clichés pris avec n'importe quelle chambre cou--
rante, et avec un grand choix de rapports d'agrandissement ; les super-grand-angulaires peu-
? vent étre restitués par anamorphose. Cinquante appareils ont été fabriqués.
c) les matériels annexes pour la restitution numérique, Depuis 1968, Matra-SFOM fa-
brique des matériels d'enregistrement numérique adaptés au photorestituteur 920 - Deux
formules sont réalisées :
- sortie directe des coordonnées X Y Z sur imprimante, cartes ou bandes perforées ;
- sortie des informations transformées en coordonnées géographiques sur bande
magnétique et emploi d'un calculateur en ligne pour cartographie numérique et thématique,
L'adaptation de ces matériels sur le photorestituteur 920 donne la possibilité d'utiliser un
orthophotoplan ou un plan existant comme guide de l'opération d'établissement d'une banque
de données,
d) enfin Matra-SFOM a en cours d'études :
- un enregistreur de profils sur l'orthophotographe 693 et sur divers types d'appa-
reils de restitution,
@ i - un appareil universel, le simulateur spatial.
2 S.O, P. E, L, E, M, a réalisé les matériels suivants qui constituent des perfectionnements ou
compléments au PRESA, appareil de restitution de premier ordre, adapté à l'exploitation de cli-
chés de toutes focales et formats courants, y compris les super-grand-angulaires, et dont le
prototype a été présenté en 1964 :
- un ensemble de règles codées X, Y et Z (mesure absolue) qui, dans la version PRESA
225 RC, se substitue aux compteurs mécaniques pour la lecture et l'enregistrement automa-
tique des coordonnées-modèle : affichage sur tube Nixie, enregistrement en clair sur télé
f
, imprimante IBM ou sur perforatrice de bande ou de cartes, enregistrement magnétique sur
"Digi Data" augmentant les vitesses et capacité de stockage en vue des applications à la car-
tographie automatique.
le à - un calculateur altimétrique qui permet d'afficher (et d'enregistrer) l'altitude vraie des
points du terrain à partir de la cote Z relevée par la règle codée correspondante,
- une télévisionneuse permettant à l'opérateur d'observer, sur un récepteur placé devant
lui. la zone de tracé sur le coordinatographe et de pointer avec précision tout détail de celle-
ci (commodité d'exécution, par un seul opérateur, de relevés de profils ou de semis de points).
- un pupitre de télécommande des déplacements X et Y avec un réglage continu de la
vitesse,
3°/ La généralisation des prises de vues sur films et la nécessité de pouvoir exploiter commo-
dément des clichés super-grand-angulaires ont entraîné une évolution des matériels de restitu-
tion en service : le stéréotopographe Poivilliers SOM type B, trés utilisé en France jusqu'en
1964, n'est plus construit et se trouve peu à peu remplacé, pour les travaux traditionnels de
cq ee restitution graphique, par des matériels de conception plus récente,
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