possible ; l'illuminant doit être la source C de la CIE, la transmittance d'une diapositive, de
J
l'ordre de 4 à 8 %, la luminance de l'image de 100 à 10. 000 nits ;
- la préférence de l'auteur pour l'inversion, le procédé négatif-positif ayant le danger de
conduire l'opérateur à rechercher une jolie photographie, au détriment de la vérité ;
- son choix, si deux trappes et deux seulement sont à sa disposition :
végétation : panchro et spectrozonale
sols, pollution des eaux : panchro et couleur naturelle
reconnaissance et agglomérations : couleur naturelle et spectrozonale
fleuves et voies d'eau navigables : panchro et IR achrome ;
- en écho aux propos de G. H. Thomson et de H. Raevaara : les économies faites par l'Etat
(et sans doute aussi les compagnies privées) au détriment de la qualité des photographies ;
- les conditions optimales de stockage (4 à 5° C et 45 - 55 % d'humidité relative).
Conclusions
Ce rapport a cherché à couvrir un champ étendu. Des erreurs d'interprétation des ques-
tions posées et des réponses reçues ont pu s'y glisser. Sur bien des points, on est arrivé, ici et
là, à des appréciations, à des spécifications ou à des résultats concordants. Là où il y a eu diver-
gence et même erreur d'interprétation doivent se trouver des sujets de discussion au Congrès
d'Ottawa. De même, les suggestions faites pour orienter les enquêtes ou les recherches à entre-
prendre peuvent provoquer des débats intéressants et donner à certains d'entre nous la possibi-
lité d'échanger des informations utiles : tel qui souhaite certaines études en commun peut ignorer
certains travaux et les conclusions qui en sont résultées. En résumé, tout autant que fournir des
informations, l'objet de cette étude est d'alimenter à Ottawa une discussion aussi fructueuse que
possible sur les questions relatives aux surfaces sensibles, à leurs propriétés, à leur emploi, à
leur traitement et à leur exploitation.