Full text: Proceedings (Part 1)

  
(Espagne, par exemple), comme ce fut, spon- 
tanement, le cas du Danemark; 
— soutien apporté au Trésorier pour obtenir le 
payement des cotisations annuelles en retard, 
cependant bien modestes, voire insuffisantes: le 
succés ne fut malheureusement pas total et cer- 
tains pays membres ne pourront être admis, 
à notre grand regret, à participer à l’activité de 
notre Assemblée générale; 
— établissement du calendrier des symposiums 
organisés en 1974, à mi-distance des Congrès 
de 1972 et de 1976, par les sept Commissions 
techniques et rappel, en cette occasion, du triple 
objectif de ces manifestations: préparer le XIII © 
Congrès, faire le point de l’activité des divers 
groupes de travail et inciter certains d’entre eux 
à intensifier leur activité, enfin, traiter plus à fond 
qu’on ne saurait le faire au cours des sessions 
d’un congrès, un sujet (à la rigueur deux) par- 
ticulièrement intéressant pour sa nouveauté 
ou pour l’étendue et la variété des développe- 
ments qu'on peut en attendre; il n'a malheureuse- 
ment pas été possible de grouper à la suite les 
uns des autres les symposiums qui furent or- 
ganisés d'une part en Amérique, d'autre part en 
Europe. On se rapprocha tant bien que mal de 
cet idéal et le compromis intervenu aura tout de 
méme contribué à diminuer les frais de voyage 
de nos collégues désireux de participer à plu- 
sieurs symposiums; cette activité donna l'occa- 
sion aux membres du Conseil d'évoquer les 
droits et devoirs des Pays Membres qui accep- 
tent de patronner une Commission technique; 
j'aurai l'occasion de citer les dépenses suppor- 
tées par l'actuelle Commission IV, dont fut chargé 
mon Pays, quand nous traiterons du point 14 
figurant à notre ordre du jour; 
— contribution à l'action menée par le Président 
de la SIP et le Dr. Erik Welander, président de la 
Commission l, en faveur de la place que doit oc- 
cuper la télédétection à l'intérieur de la SIP; 
chacune — ou presque — de nos Commissions 
techniques peut et donc doit créer un ou plusi- 
eurs groupes de travail auxquels les experts de 
la télédétection pourront participer dans l'in- 
térét général comme dans celui de leur spécialité; 
d'une facon plus générale, la multiplication des 
groupes de travail au sein des Commissions 
techniques doit étre encouragée: en dehors méme 
des progrés scientifiques et techniques qui ne 
manqueront pas d'en résulter, elle permettrait 
d'intéresser, sans qu'ils aient à supporter de 
trop grandes charges financiéres, un plus grand 
nombre de Pays membres à l’activité de la SIP; 
c’est très important pour l’avenir de notre So- 
ciété; pour avoir participé au petit groupe de 
travail présidé par le Professeur Bachmann, je 
puis dire que les fonctions énumérées dans les 
diverses rubriques de l’article 18 du Règlement 
intérieur, concernant les Commissions tech- 
niques, ne sont aucunement limitatives: ces der- 
nières doivent faire preuve d’imagination pour 
étendre le champ de leurs activités; en outre, 
le recours aux groupes de travail semble offrir la 
meilleure voie à une action commune de la SIP 
et des organisations-soeurs, telles que l’Associa- 
tion géodésique internationale, la Fédération 
internationale des Géomètres ou l’Association 
cartographique internationale; 
— entretien de relations avec de telles organi- 
44 
à PRR DR e rrr 
sations internationales présentant des affinités 
avec la SIP, encore que le Président Gamble et 
le 1er Vice-Président Tewinkel y contribuérent 
tout naturellement beaucoup plus que le Secré- 
taire général; 
— liaisons avec l'UNESCO, facilitées par la pré- 
sence de son siége à Paris; la qualité de membre 
de la catégorie B fut obtenue en 1974 en faveur 
de la SIP; on sait que cette catégorie prévoit 
l'établissement de relations réciproques d'infor- 
mation et de consultation entre l'UNESCO et le 
membre, notamment la contribution de ce dernier 
à l'exécution des programmes que se propose 
l'Organisation; le Directeur des Sciences de la 
Terre fut invité à s'entretenir avec le Conseil 
et à assister aux assises de la Commission IV, à 
Paris, en septembre 1974; mais jusqu'ici, aucune 
aide financiére ne put étre obtenue de l'UNESCO, 
malgré notre insistance, que ce fut par exemple 
pour venir en aide à nos collégues polonais lors 
du symposium de la Commission VI tenu à Cra- 
covie en 1975 ou pour aider le Comité interna- 
tional de Photogrammétrie architecturale (com- 
mun à la SIP et à l'COMOS — Conseil inter- 
national des Monuments et des Sites) dans son 
activité bénévole. Et pourtant des thèmes tels 
que la formation de techniciens de la photogram- 
métrie et de la télédétection dans les pays en 
voie de développement comme l’action menée 
en vue de la protection du patrimoine architec- 
tural de l'humanité sont des sujets qui devraient 
retenir l'attention de l'UNESCO; on ne m'avait 
pas caché, dés l'abord, que l'élaboration des 
programmes de l'Organisation demandait beau- 
coup de temps et que plusieurs années s'écou- 
leraient certainement avant que la SIP püt es- 
pérer la moindre contribution financiére. 
Veuillez excuser, mes chers Collégues, la lon- 
gueur de cet exposé, qui n'est pourtant pas 
exhaustif. Je vous remercie de votre attention. 
Secretary General's Report 
(Translation) 
An important part of the Secretary General's 
activity was naturally made of mail exchanges 
with the National Member Bodies, the Council 
Members, the officers in charge of the Technical 
Commissions and of their working groups, various 
international organizations and a large number 
of experts all over the world. | have no statistics 
available for the correspondence | received; 
establishing them would have taken a time better 
used for other ISP tasks. But | am able to quote 
a few figures concerning the letters and docu- 
ments written, for over 80% in English, which is 
not my vernacular language (the present speech 
checks it!), and mailed during the past four years. 
These figures should not discourage the incom- 
ing Secretary General — | wish that he will feel 
a real passion for this task and find some guid- 
ing rules in the statement which follows to help 
him when starting his new job — but to make 
the General Assembly aware of an activity the 
fullness of which it might not be conscious. 
From August 21, 1972 to July 2, 1976, 981 let- 
ters and circulars have been written: there were 
42 of the latter, a number of which having known 
a a A ee CE Os EE
	        
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