Full text: Reports and invited papers (Part 4)

  
Numerisation 
  
Orthoprojection 
  
de profils 
  
  
  
  
automatique 
  
  
  
  
Modeles numeriques 
de terrain (DTM) 
  
  
Calcul de 
profils 
  
  
  
Calculs divers 
  
Numérisation de 
courbes de niveau 
(3 dimensions) 
  
  
Calcul de 
courbes de 
niveau 
  
aíres,cubatures... 
  
  
  
  
  
Numérisation de 
courbes de niveau 
  
(2 dimensions) 
  
  
  
Fig. 3 — Acquisition et transformation des 
données altimétriques (Prof. Jerie, 1975) 
à but cartographique (Ordnance Survey, GB ; 
CETE d'Aix, France, etc.) ; 
— données de génie civil, routières ou autres 
(Ministère des Transports, Toronto, Canada ; 
Rijkwaterstaat, Delft, Pays-Bas, etc.) ; 
— données de géocodification ou topologie 
urbaine : ex. système DIME (USA). Répertoire 
géographique urbain (Opération Pilote intermi- 
nistérielle, Marseille, France) ; 
— inventaire parcellaire, à buts statistiques et 
administratifs (Institut National de Cartogra- 
phie, Algérie) ; 
— données  volumétriques urbaines (bati- 
ments), à but architectural et paysager : cartes 
de contraintes de constructions, tracés automa- 
tiques de perspectives, insertion de projets 
(ex.: CETE d'Aix, LG.N., France): 
— inventaire forestier: échantillonnages, cal- 
culs de surfaces, cartes d'inventaire (ex. 
Kersting, Allemagne Fédérale, 1974) ; 
— inventaire des surfaces báties, à buts admi- 
nistratifs et fonciers (Brindópke, RFA, 1974) ; 
— données d'occupation des sols ; 
— données de la circulation (flux routiers), etc. 
  
Tracé automatique 
de courbes de 
niveau 
  
  
  
Il n'y a pas de loi systématique indiquant 
si l'acquisition des données planimétriques est 
faite en deux ou trois dimensions. On peut 
seulement dire que les données à caractére de 
« comptage » ou de mesures autres que de 
position (ex. largeur d'une route, nombre de 
bandes de roulement) se font peut-étre plus 
souvent sur support plan (orthophoto par ex.) 
pour des raisons évidentes de commodité. 
Quant à l'échantillonnage des /ignes plani- 
métriques (continues), il est plus simple que 
celui de l'altimétrie (qui est un échantillonnage 
de surface). Deux cas doivent étre distingués : 
— les lignes brisées (séries de segments de 
droites) dont seuls les sommets ont à étre 
pointés et numérisés — ce qui d'ailleurs, dans 
le cas de la restitution photogrammétrique 
numérique, gagne un temps appréciable sur la 
restitution graphique classique ; 
— les lignes courbes (ex. hydrographie) qui 
doivent être échantillonnées en points permet- 
tant de reconstituer, avec un algorithme appro- 
prié, le contour original. Comme pour les 
courbes de niveau (cf. 8 II-1), l'échantillonnage 
peut étre pratiqué sous plusieurs formes : 
a) échantillonnage automatique à cadence de 
temps oü les points sont prélevés à vitesse 
constante (fixée par l'opérateur); 
b) échantillonnage automatique à cadence 
d'espace, oü les points sont prélevés chaque 
9 
 
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.