Full text: Systems for data processing, anaylsis and representation

  
La strat&gie du gouvernement definie par ce plan 
d'action reposait sur les principes de base suivants: 
econcevoir chaque initiative ou projet d'in- 
vestissement en géomatique dans une pers- 
pective gouvernementale afin de faciliter les 
échanges de données à référence spatiale entre 
les ministères, de réaliser plus efficacement 
les missions gouvernementales de nature 
territoriale et d'optimiser les modes de 
fonctionnement des unités administratives 
concernées; 
reconnaître que le complètement, par le 
ministère des Ressources naturelles de la base 
des données géographiques et foncières 
(BDGF), constitue une activité prioritaire; 
respecter les orientations gouvernementales 
l'égard des technologies de l'information et 
retenir à cet effet que seuls seront approuvés 
les projets sectoriels en géomatique qui 
démontrent leur rentabilité ou leur caractère de 
nécessité pour réaliser une mission gou- 
vernementale décrétée par législation; 
Le gouvernement décidait également de consolider les 
structures de coordination permettant de mettre en 
commun les compétences et de favoriser des approches 
interministérielles en matière de gestion, d'exploitation 
et d'aménagement du territoire. 
Une enveloppe budgétaire gérée centralement par le 
SADRE au nom du Comité directeur de la géomatique 
a été maintenue jusqu'au 31 mars 1995. 
Le Comité directeur de la géomatique, là où 
l'effort d'équipe se construit. 
Le Plan géomatique gouvernemental ne pourrait 
atteindre ses objectifs sans la collaboration de tous. Le 
Comité directeur regroupe les représentants des 
ministères les plus actifs et directement concernés par 
la géomatique. À travers cette structure de coordination 
qui se veut souple et basée sur l'établissement de 
solides consensus, le décloisonnement des données 
entre producteurs devient possible. Des 
liensfonctionnels entre plusieurs unités administratives 
s'établissent permettant alors un véritable effort 
d'équipe. Ceci permettra de créer l'environnement 
administratif nécessaire pour passer à l'étape de la 
révision des façons de faire au cours des prochains 
mois. 
Rappelons que le Comité directeur de la géomatique est 
composé des représentants des ministères et organismes 
suivants : 
54 
- Le Secrétariat à l'aménagement , au dévelop- 
pement régional et à l'environnement du 
ministére du Conseil exécutif; 
- Le Secrétariat du Conseil du Trésor; 
- Le ministére des Ressources naturelles; 
- Le ministére des Transports; 
- Le ministére de l'Environnement et de la 
Faune; 
- Le ministére des Affaires municipales; 
- Le ministère de l'Agriculture, des pêcheries et 
de l'alimentation. 
; II- UNE PRIORITE: LE 
DECLOISONNEMENT DES DONNÉES 
POUR APPUYER LES ÉCHANGES 
Les ministéres font face à un défi de gestion. Il est de 
moins en moins possible de réduire les dépenses 
publiques par de simples compressions budgétaires. Il 
faut maintenant repenser la façon de traiter avec les 
citoyens et leur fournir des services au moindre coût 
possible. Il faut s'assurer que les structures 
administratives offrent la souplesse nécessaire pour 
accroître la productivité. Dans le contexte actuel, le 
Comité directeur de la géomatique se doit d'apporter 
une contribution significative. Il poursuit une straté- 
gie de moyen terme pour mieux systématiser le 
traitement et l'échange de l'information territoriale, 
faciliter la prise de décision et rendre possible la 
concertation interministérielle dans l'analyse de 
situations complexes. 
Concrètement, cela a donné lieu à plusieurs travaux 
visant à lever les derniers obstacles à la libre-circu- 
lation des données à référence spatiale. La norma- 
lisation du format d'échange des données est certes un 
domaine où les spécialistes du Québec ont eu de 
nombreux contacts avec les chefs de file en ce domaine 
au Canada. 
D'importants travaux sont en cours pour identifier le 
scénario le plus avantageux afin de normaliser le 
format d'échange de l'information à référence spatiale. 
Ces travaux sont faits en tenant compte des consensus 
qui sont en train de s'établir sur cette question autour 
du OPEN GIS Foundation. L'Université Laval, le 
Secrétariat du Conseil du Trésor et le ministère 
québécois des Ressources naturelles participent avec 
l'OGIS à la progression d'un tel consensus nord- 
américain. 
Le Comité directeur de la géomatique a aussi favorisé 
le décloisonnement des banques de données de façon à 
assurer une plus grande homogénéité et complé- 
mentarité entre elles. Ce faisant, c'est toute la chaîne 
de montag 
constituer 
territoriale 
organisme 
document 
géoréperto 
qui viendr 
caractérise 
L'utilisate 
spatiale ( 
l'informati 
fins d'anal 
jour, son n 
- Établir 
Au cours C 
la capacit 
référence 
réseau de 
sera poss! 
électroniq 
entre les n 
place prog 
de fagon 
l'informati 
III- LA 
Le déclois 
problémes 
niveau de 
puisse util 
d'intégrati 
nement d 
niveau que 
détermina 
s'implique 
possible d 
précis. C 
quedifiniss 
la géomati 
mise en pr: 
Comment 
eux qui so 
l'efficacité 
la dette [ 
alternative 
réinventés 
systémes c 
logiciel a « 
Il porte l'a 
Par des 
souhaite 
comme i
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.