et obtenons d’une facon
Q p.p»
Pour le point 1 (x —0 ;
(58)
générale à l'aide de la loi de propagation des erreurs :
= @*Qby.by. t b*Qu, o cC'Qbzpz, + d'Qe,e, t Quo,
+ 2abQbyır. + 2acQby.bz. + 2adQby,, t 2aeQby.o.
+ 2bcQubz + 20dQ up. + 20€Q rw. + 2¢dQ bz.9.
+ 2ceQbze, + 2deQpy.o.
L'expression analytique des coefficients de poids, pour le cas désigné par c; , a été donnée
par les formules (48)-(57). Une partie des coefficients rectangulaires était égale à zéro.
Si nous passons maintenant directement à une étude numérique des coefficients de poids
pour les corrections p,, nous obtenons :
Pour le cas cı :
(59)
Qp,p,
= 10,265 + | (y sin o — At cos o) S£ U 1,902
l
+ Ts 1,486 + y (x — b)? 1,113 4
( + x h? 6,625
22 1 2
he
(x—b)
— 2 (y sin o — h cos e)
h
0,563 + E (x — b) 0,193
l
)
— 2h (1+ z 8,111 — 2 (y sin o — A cos o)
h?, h?
+ (x— b)? 0,651 + e (x — b) 2,359
L'erreur moyenne de la parallaxe résiduelle en y est :
(60)
En calculant maintenant, par l'application de la formule
mp, — M V Qp,p,
y = 0) on obtient par exemple :
mp, — 0,82 #
(59), suffisamment de valeurs
pour Qp,p, réparties sur tout le champ :
x= 030,63 h
y=—0,58h ä +. 0,58 h
on peut établir un diagramme sur les parallaxes résiduelles en y dans le modèle.
Pour le cas €g:
Vu que les coefficients de poids ont été calculés numériquement pour certaines posi-
tions extrêmes des points et dans un champ où :
(x=0a0,63h
y = — 0,50 hà + 1,00h
nous pouvons sans difficulté faire une étude qui couvre fout le modèle,
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