Full text: Commissions I and II (Part 4)

1e sehr rationelle 
, sofern man die 
richtige Verhältnis 
| den Bildmasstab 
rseits den Flugweg 
tteinteilung richtig 
qui concerne la na- 
t la plus importan- 
aite est la suivante: 
on lit beaucoup de 
s méthodes, sur les 
— chacun dit avoir 
onduisent à des ré- 
e les moyens radio, 
1 vante les systèmes 
'rable à toute cette 
r des images qui 
les tableaux d'as- 
it constater effecti- 
demande à la cou- 
lenne seraient res- 
It aussitót close. 
ohique le probléme 
ssentiellement dans 
i s'appelle le ,,vec- 
init le mouvement 
Jl. L'orientation de 
t soit d'une mesure 
pères qui sont liés 
ymposition des vec- 
ate, c'est à dire le 
ion, et d'autre part, 
emier cas nous di- 
re à des méthodes 
me cas nous dirons 
>s méthodes analy- 
te du vecteur V S 
des repéres maté- 
s trajectoires étant 
e-sol sera correcte- 
des gisements entre 
st égale à O ou à zr. 
'ostulent donc, pre- 
précier le déplace- 
apport aux repères, 
e de survol; deuxiè- 
létermination préa- 
ient l'existence des 
r ces axes. Le dé- 
rt à l'axe de survol 
mples, soit par des 
es indicateurs des 
facon d'autant plus 
SURVEY NAVIGATION, DISCUSSION 93 
précise que cet axe est défini lui-méme avec plus 
de précision. 
Les méthodes d'alignement à l'aide du visé 
optique sur des repéres au sol apportent à l'heu- 
re actuelle une solution trés satisfaisante et je 
ne connais pas d'autre méthode, radar, radio, 
qui permette d'obtenir des résultats aussi régu- 
liers, aussi homogénes, et aussi peu coüteux. La 
détermination des axes, elle, est simple quand 
on dispose de cartes ou quand on dispose de 
photographies relativement bonnes, ou quand 
le pays présente des repères identifiables. Elle 
pose par contre des problèmes d'infrastructure 
quand ces axes sont définis par des moyens 
radio ou supposent une grande pratique quand 
les repères sont rares et à déterminer par des 
visés optiques. 
Voyons un peu les méthodes analytiques. Eh 
bien, les méthodes analytiques, elles, procèdent 
de la connaissance, du cap de l’avion d’abord, 
et ensuite de la dérive. Aucun matériel existant 
à ce jour, tout au moins à ma connaissance, n'ap- 
porte au problème du cap une solution satisfai- 
sante. Or, c’est sur ce problème-là qu’on a les 
plus grandes erreurs, et précisément c’est là où 
réside la difficulté, c’est là qu’il faudrait travail- 
ler, c’est là qu’il faudrait apporter des amélio- 
rations. Actuellement on peut considérer que 
la connaissance du cap et le maintien du cap au 
demi degré près est une excellente performance, 
mais qui ne suffit pas. Quand j'annonce le 2? 
c'est parce que je suis un peu la littérature opti- 
miste de tous les vendeurs de matériel, mais pra- 
tiquement, quand on a le degré on est partaite- 
ment satisfait. Des progrés, certes, et trés appré- 
ciables, ont été réalisés sur la mesure de la dé- 
rive, mais celle-là on la connaissait déjà au 2? 
prés. On arrive à la mesurer au '/10 de degré 
prés. En fait, cette amélioration qu'on a appor- 
tée à l'erreur qui reste sur le cap est infirme 
quant au résultat final de l'opération. Toutefois, 
la mesure de la dérive par des moyens Doppler 
présente un avantage qui est d’un tout autre 
ordre — c’est l’instantanéité de la mesure et la 
rapidité de son exploitation, et c’est ce en quoi 
le Doppler apporte quelque chose. En bref, si 
vous voulez, l’erreur quadratique qui résulte de 
la composition de cette erreur sur le cap et l’er- 
reur sur la dérive est à l’heure actuelle du même 
ordre que l’erreur faite sur le cap lui-même, c’est 
à dire, une erreur de l’ordre du degré, pratique- 
ment. 
Comment orienter des recherches? L'impos- 
sibilité actuelle de résoudre les problémes du 
cap incline à penser que les méthodes analyti- 
ques sont condamnées à piétiner quelque temps. 
Mais, une fois le probléme résolu, elles seraient 
certes les plus faciles d'emploi. Le probléme du 
cap doit donc faire partie d'un programme d'étu- 
de dont les résultats ne peuvent étre escomptés 
qu'à long terme. Les difficultés pratiques des 
méthodes synthétiques tiennent à la définition 
des axes de survol. Leur résolution suppose 
seulement un choix entre les améliorations tech- 
niques dont la nature et la portée sont connues. 
Ces améliorations peuvent étre réalisées à court 
terme et sur le plan industriel. Ainsi on sépa- 
rerait deux domaines, le domaine de l'exploita- 
tion et le domaine de la recherche. J'ai terminé. 
Monsieur J. CnusET: L'Institut Géographi- 
que National a rédigé une communication sous 
forme de contribution de cet organisme au dé- 
veloppement du matériel et des méthodes de 
photographie aérienne. Je renvoie au document 
écrit et je me contente de projeter deux instru- 
ments nouveaux — un intervallomètre. 
L'intervallométre en question répond à deux 
buts: d'une part avoir un systéme chronométri- 
que précis et améliorant le recouvrement dans 
les régions montagneuses; d'autre part avoir un 
trés grand champ, le champ du viseur est égal 
à celui d'un objectif grand angulaire — ceci 
pour pouvoir profiter des points de repére au 
sol qui peuvent étre trés rares dans des régions 
comme les régions désertiques. 
Le probléme le plus délicat qui a été posé 
était celui d'avoir un champ, donc dans une lu- 
nette, de 90°, et avec une distortion maximum 
de 1% de façon à pouvoir utiliser pour la navi- 
gation des points de repère qui n’étaient pas né- 
cessairement sur la ligne de vol. Quand on n’a 
pas beaucoup de points de repère il faut les pren- 
dre là où ils sont. 
Le viseur de navigation qu’utilise mainte- 
nant l’Institut Géographique National est carac- 
térisé par la présence d’un niveau bulle de di- 
mensions constantes. Vous voyez ainsi com- 
ment fonctionne ce viseur de façon à pouvoir in- 
diquer au navigateur la position du nadir, quel- 
les que soient les petites imperfections dans 
l'orientation de l'axe de visé de l'instrument. 
C'est tout. 
Mr F. L. CORTEN: Mr Cruset will also give 
some comments on the next item which is the 
height difference measurement. 
Monsieur J. CRusET: Je m'en tiendrai à la 
partie instrumentale en demandant ensuite à 
Monsieur de Masson d’Autume, s’il le veut bien, 
de faire un commentaire sur l’usage du statos- 
cope que l’Institut Géographique National a 
construit en collaboration avec les Etats. Bau- 
  
  
 
	        
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