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contrastes des détails, grâce à la possibilité d'employer un papier plus dur, 
ont vu le jour, les unes, électroniques, peu avant le Congrès de Stockholm, 
les autres, à fluorescence modulée par l'infra-rouge, il y a moins de deux ans. 
i : E us A : 7,6, 10,11 ; 
Les tireuses à compensation électronique * 7’ , (LogZtronic 
Cintel) sont bien connues et dé jà largement utilisées, La tireuse à plaque fluo- 
rescente Fluorc-dodge a été décrite dans les revues spécialisées, mais n'est 
pas actuellement aussi répandue et donc aussi bien connue que les deux pre- 
mières, Nous nous limiterons ici à une très courte description de ces divers 
appareils, 
La tireuse Loztronic repose sur le principe suivant : un tübe catho- 
dique fournit sur son écran un spot qui décrit une figure de Lissajous (balayages 
2 I20 Hz et IZI Hz), 
L'image floue de ce spot (dont la dimension linéaire est de l'ordre 
de IZ mm) est ameaée, par l'intermédiaire d'une lentille lézérement défocalisée, 
dans le plan de contact du négatif & traiter et de la surface sensible du futur 
positif, Les spots successifs, qui paraissent à l'oeil donner une courbe continue, 
Se recouvrent de 90 7, 
. 
Derrière ces deux plaques, une cellule photomultiplicatrice recueille 
la lumière transmise et commande le courant du tube cathodique par d'intermé- 
diaire d'un dispositif à contre-réaction à réponse rapide, 
Le principe de la tireuse Cintel est voisin : le spot décrit des lignes 
droites narallèles avec un léger recouvrement et les lignes de même rang 
n'occupent pas exactement le même emplacement d'un balayage à l'autre. 
D'excellents résultats ont été obtenus au moyen de ces deux matériels. La ti- 
reuse Logztronic a toutefois de plus srandes possibilités gräce ? sa zamme 
plus étendue de largeur du spot et à son olus grand rapport de compensation 
extrême. On reproche souvent à ces deux tireuses la durée d'exposition ( de 
l'ordre de 15 secondes pour un cliché moyen peu couvert ) trop longue,